Les Tristes et les Pontiques, ou Rome au bord de la mer Noire
Il était une fois, sous le règne d’Auguste, un homme qui pouvait se croire comblé : Publius Ovidius Naso, dit Ovide. Poète à la mode dans le beau siècle de la poésie latine, lusor amorum (chantre des amours), sa plume badine avait conquis Rome et sa facilité à faire des vers tenait du prodige : « je tâchais d’écrire en prose, mais les mots venaient se placer si juste à la mesure, que ce que j’écrivais était des vers ». Fortune, naissance, amis illustres, une maison jouxtant le Capitole, rien ne manquait à ce chevalier romain qui jouissait d’une vie plus assurée et plus confortable que jamais.
Pourtant, un matin de l’an 8 de notre ère, quand Rome s’éveilla, une sinistre nouvelle parcourut les rues : l’enfant chéri des muses, alors quinquagénaire, venait de partir sous escorte impériale. Non pour une retraite dorée sur quelque rivage clément, mais pour une relegatio (assignation à résidence)1La relegatio (assignation à résidence), bien que ressemblant à l’exilium (exil), s’en distinguait juridiquement : elle n’entraînait ni perte de la citoyenneté ni confiscation des biens. Ovide, à qui l’on avait fait grâce sur ces deux chefs, avait soin de préciser que c’est par abus que ses contemporains le qualifiaient d’exilé : quippe relegatus, non exul, dicor in illo (il n’est point dit que je sois exilé, mais seulement relégué). Mais à quoi bon observer une distinction qu’il ne faisait que par point d’honneur ? Lui-même s’en est affranchi : a patria fugi victus et exul ego (moi vaincu et fugitif, je me vois exilé de ma patrie) ; exul eram (j’étais en exil). à Tomes2L’actuelle Constanța en Roumanie., bourgade glaciale à l’extrême limite de l’empire, sur les bords inhospitaliers de la mer Noire.3En saluant une dernière fois le Capitole, l’exilé prononça ces adieux que Goethe fera siens au moment de son propre départ de la Ville éternelle : « Grands Dieux qui habitez ce temple auguste si voisin de chez moi, et que mes yeux désormais ne verront plus ; […] vous qu’il faut que je quitte, […] déchargez-moi, je vous supplie, de la haine de César ; c’est la seule grâce que je vous demande en partant. Dites à cet homme divin quelle erreur m’a séduite, et faites-lui connaître que ma faute ne fut jamais un crime ».
Le Mystère de la disgrâce
Quelle fut la cause de cette relegatio sans jugement, par la seule volonté d’Auguste, et quelle raison eut ce prince de priver Rome et sa cour d’un si grand poète pour le confiner chez les Gètes ? C’est ce que l’on ignore et que l’on ignorera toujours. Ovide évoque un carmen et error (un poème et une imprudence), murmurant énigmatiquement :
« Ah ! pourquoi ai-je vu ce qu’il ne fallait pas voir ? Pourquoi mes yeux sont-ils devenus coupables ? Pourquoi enfin, par mon imprudence, ai-je connu ce que je ne devais jamais connaître ? »
Ovide. Les Élégies d’Ovide pendant son exil [t. I, Élégies des Tristes], trad. du latin par Jean Marin de Kervillars. Paris : d’Houry fils, 1723.
Si L’Art d’aimer, publié une décennie plus tôt, fut le carmen ou le prétexte officiel, l’error ou la faute véritable demeure une énigme scellée dans la tombe du poète :
« Le crime d’Ovide était incontestablement d’avoir vu quelque chose de honteux dans la famille d’Octave […]. Les doctes n’ont pas décidé s’il avait vu Auguste avec un jeune garçon […] ; ou s’il avait vu quelque écuyer entre les bras de l’impératrice Livie, que cet Auguste avait épousée grosse d’un autre ; ou s’il avait vu cet empereur Auguste occupé avec sa fille ou sa petite-fille ; ou enfin s’il avait vu cet empereur Auguste faisant quelque chose de pis, torva tuentibus hircis [sous les regards torves des boucs]. ».
Voltaire. Œuvres complètes de Voltaire, vol. 45B, […] D’Ovide, de Socrate […]. Oxford : Voltaire Foundation, 2010.
Oublions donc les hypothèses aussi nombreuses qu’étranges de ceux qui veulent à quelque prix que ce soit deviner un secret de deux millénaires. Il suffit de savoir que, dans les affres de l’exil, dans les sanglots de l’isolement, Ovide ne trouva pas d’autre ressource que sa poésie, et qu’il l’employa tout entière à amadouer un empereur dont il s’était attiré la rancune. « Les Dieux se laissent quelquefois fléchir », se disait-il. De là naquirent les Tristes (Tristia)4Formes rejetées :
Les Cinq Livres des Tristes.
Tristium libri quinque (V).
De Tristibus libri quinque (V). et les Pontiques (Epistulæ ex Ponto)5Formes rejetées :
Lettres du Pont.
Élégies écrites dans la province de Pont.
Les Quatre Livres d’épîtres écrites dans la province de Pont.
Ponticæ epistolæ.
De Ponto libri quatuor (IV)..
Chronique d’un hiver éternel : Le Drame de Tomes
Les élégies d’Ovide pendant son exil sont le journal d’un homme perdu loin des siens, loin d’une civilisation dont il fut naguère le plus aimable représentant ; une longue déploration adressée à son épouse, à ses amis restés à Rome et à un pouvoir implacable dont il attend en vain la clémence. Tomes s’y présente sous l’aspect d’une « terre pleine d’amertume », toujours battue par les vents et par la grêle d’un hiver éternel, et où le vin même, « pétrifié par le froid », se fige en glace qu’il faut trancher à la hache. Le poète s’y sent un étranger absolu ; un prisonnier désapprenant à parler latin au milieu de mots barbares et d’affreux cris de Gètes :
« ils s’entretiennent les uns avec les autres en une langue qui leur est commune ; mais moi, je ne puis me faire entendre que par des gestes et des signes ; je passe ici pour barbare, et [ces] Gètes impertinents se rient des mots latins. »
Ovide. Les Élégies d’Ovide pendant son exil [t. I, Élégies des Tristes], trad. du latin par Jean Marin de Kervillars. Paris : d’Houry fils, 1723.
Face à l’adversité
Où Ovide puisa-t-il le courage nécessaire pour supporter une adversité si cruelle ? Dans l’écriture :
« [Si vous me] questionnez sur ce que je fais ici, je vous dirai que je m’occupe à des études assez peu utiles en apparence, et qui néanmoins ont leur utilité pour moi ; et quand elles ne serviraient qu’à me faire oublier mes malheurs, ce ne serait pas un médiocre avantage : trop heureux si, en cultivant un champ si stérile, j’en retire au moins quelque fruit. »
Ovide. Les Élégies d’Ovide pendant son exil, t. II, Élégies pontiques, trad. du latin par Jean Marin de Kervillars. Paris : d’Houry, 1726.
Au reste, l’ancien dandy romain n’a pas entièrement disparu : élégance, traits recherchés, comparaisons plus ingénieuses que solides persistent, parfois jusqu’à l’excès. Quintilien déjà le jugeait moins occupé de ses propres malheurs, qu’amator ingenii sui (amoureux de son propre génie). D’après Sénèque le père, Ovide connaissait « ce qu’il y avait d’exubérant dans ses vers », mais s’en accommodait : « Il disait qu’une figure était parfois rendue bien plus jolie par un grain de beauté ». Cette constance à donner quelque tour à ses pensées, quelque « grain de beauté », à la manière française — « on dirait presque qu’il est né parmi nous », note le traducteur Jean Marin de Kervillars — est la marque ultime de sa personnalité, le refus avoué de laisser l’éloignement de la capitale anéantir l’artiste. Et après avoir si souvent décrit cet éloignement comme une espèce de mort, il finit par trouver Rome au bord de la mer Noire, concluant : « le pays où le sort m’a placé doit me tenir lieu de Rome. Ma muse infortunée se contente de ce théâtre […] : tel est le bon plaisir d’un puissant Dieu. »6Plus résigné que résolu, il n’alla pas jusqu’à inscrire sur le linteau de sa porte, comme le fera Hugo, EXILIUM VITA EST (L’EXIL C’EST LA VIE ou LA VIE EST UN EXIL).
Pour aller plus loin
Autour de Pontiques

Citations
« Cernis ut in duris — et quid bove firmius ? — arvis
Fortia taurorum corpora frangat opus.
Quæ numquam vacuo solita est cessare novali
Fructibus adsiduis lassa senescit humus.
Occidet, ad circi si quis certamina semper
Non intermissis cursibus ibit equus.
Firma sit illa licet, solvetur in æquore navis
Quæ numquam liquidis sicca carebit aquis.
Me quoque debilitat series inmensa malorum
Ante meum tempus cogit et esse senem. »Epistulæ ex Ponto sur Wikisource latina, [en ligne], consulté le 2 novembre 2025.
« Voyez comme les bœufs qui ont longtemps labouré des terres fortes succombent enfin à un travail si rude : cependant, qu’y a-t-il de plus fort qu’un bœuf ? Une terre qui ne s’est jamais reposée s’épuise enfin à force de porter tous les ans. Un cheval qu’on fera servir continuellement et sans relâche dans les combats du cirque succombera enfin au milieu de sa course. Un vaisseau, quelque bon qu’il soit, s’il est toujours à l’eau, s’ouvre enfin et se détruit de lui-même. C’est ainsi qu’une longue suite de maux m’épuise, m’affaiblit et me fait vieillir avant le temps. »
Ovide. Les Élégies d’Ovide pendant son exil, t. II, Élégies pontiques, trad. du latin par Jean Marin de Kervillars. Paris : d’Houry, 1726.
« Vois comme les travaux pénibles des champs brisent le corps robuste des bœufs ; et pourtant, quoi de plus fort que le bœuf ? La terre, dont le sein est toujours fécond, s’épuise, fatiguée de produire sans cesse ; il périra, le coursier qu’on fait lutter sans relâche dans les combats du cirque ; et le vaisseau dont les flancs toujours humides ne se seront jamais séchés sur la grève, quelque solide qu’il soit d’ailleurs, s’entrouvrira au milieu des flots. C’est ainsi qu’affaibli moi-même par une suite de maux infinis, je me sens vieilli avant le temps. »
Ovide. Œuvres complètes. […] Les Tristes ; Les Pontiques […], trad. du latin par Charles Nisard. Paris : J.-J. Dubochet et Cie, coll. « Collection des auteurs latins », 1838.
« Ne vois-tu pas comme les durs travaux des champs usent le corps puissant des taureaux ? Qu’y a-t-il pourtant de plus résistant qu’un bœuf ? Faute de goûter périodiquement le repos de la jachère, la terre fatiguée par des moissons continuelles connaît elle-même le vieillissement. De même, le cheval mourra qui prendra part à toutes les compétitions du cirque sans jamais omettre une course, et pour solide qu’il soit, le navire s’ouvrira en mer, s’il n’est jamais soustrait à l’élément liquide et placé en cale sèche. Et moi, pareillement, cette succession infinie de maux m’use et fait de moi un vieillard avant l’heure. »
Ovide. Les Tristes ; Les Pontiques ; Ibis ; Le Noyer ; Halieutiques, trad. du latin par Émile Ripert. Paris : Garnier frères, coll. « Classiques Garnier », 1937.
« Tu vois comme, dans les terres difficiles, le travail abat les corps robustes des taureaux — et qu’y a-t-il de plus résistant qu’un bœuf ? La terre qui n’a jamais connu le repos de la jachère vieillit, épuisée par une incessante production. Il mourra, le cheval qui prendra part à toutes les compétitions du cirque sans omettre une course. Si solide soit-il, il se disloquera en mer, le navire qui n’aura jamais été retiré de l’élément liquide et laissé à sec. Moi aussi, une suite infinie de malheurs m’épuise et fait de moi un vieillard avant l’heure. »
Ovide. Pontiques, trad. du latin par Jacques André. Paris : Les Belles Lettres, coll. « Collection des Universités de France », 1977.
« Tu vois comme, dans les terres difficiles, la fatigue brise le corps robuste des bœufs ; et pourtant, quoi de plus fort que le bœuf ? La terre qu’on ne laisse jamais oisive, jamais en jachère s’épuise, fatiguée de produire sans cesse. Il périra le coursier qui, sans relâche, sans intervalle, prendra toujours part aux combats du cirque. Quelque solide que soit un vaisseau, il périra, s’il n’est jamais à sec, s’il est toujours mouillé par les flots. Et moi aussi, une suite infinie de maux m’affaiblit et me vieillit avant le temps. »
Ovide. Œuvres complètes d’Ovide, t. X, [Pontiques], trad. du latin par Marie Nicolas Joseph Caresme. Paris : C.-L.-F. Panckoucke, coll. « Bibliothèque latine-française », 1836.
« Vous voyez comme les bœufs qui sont les plus forts des animaux se fatiguent au labourage, et comme les champs qu’on ne laisse point reposer, mais qui sont toujours semés, se lassent enfin de porter des grains. On crève à la fin un cheval, si on le fait courir aux jeux du cirque, sans lui donner de relâche. Quelque bon que soit un navire, il ne manquera pas de faire eau, s’il n’est jamais mis à sec. Je suis de même affaibli par les maux infinis que je souffre, et j’en ai vieilli avant le temps. »
Ovide. Les Œuvres, trad. du latin par Étienne Algay de Martignac. Lyon, 1697.
« Tu sais que, quand les terres sont dures, les bœufs au corps vigoureux
(Et quoi de plus vigoureux qu’un bœuf ?) s’éreintent à la tâche ;
Un sol qui n’a jamais été mis en jachère vieillit,
Épuisé par de constantes récoltes ;
Si un cheval participe fréquemment aux concours du cirque
Sans que l’on espace les courses, il mourra ;
Un navire a beau être solide, il fera naufrage s’il n’a jamais été
Mis à sec, à l’écart de l’humidité.
Moi aussi, je suis paralysé par un long enchaînement de malheurs
Qui me rendent sénile avant le temps. »Ovide. Les Tristes ; Les Pontiques, trad. du latin par Danièle Robert. Arles : Actes Sud, coll. « Babel », 2020.
« Tu sais combien s’épuisent aux champs les animaux
(Et les bêtes de somme, pourtant, sont dures au mal)
La terre exténuée par les moissons fréquentes
Sans jachère vieillit
Et le cheval mourra
S’il participe à toutes les courses du cirque
Tant va la rame à l’eau, qu’à la fin elle se brisePour ma part, c’est pareil
Le malheur sans répit
Cette série de maux
Ont fait de ton mari un vieil homme avant l’heure »Ovide. Tristes ; Pontiques, trad. du latin par Marie Darrieussecq. Paris : P.O.L, 2008.
« Ne voyez-vous pas comme le travail du labourage fatigue les bœufs, quelque robustes qu’ils soient ? Une terre qui ne redevient jamais novale7« Novale » s’est dit pour « nouvellement labourée ; qui est en jachère »., parce qu’elle ne se repose jamais, se lasse enfin à force de porter. Un cheval succombera dans le cirque, si on ne lui donne point de relâche pour la course et pour les combats. Qu’un navire soit construit de telle manière que rien ne s’y démente8« Ne pas se démentir » s’est dit pour « garder sa solidité ; tenir bon »., si est-ce qu’il9« Si est-ce que » s’est dit pour « néanmoins ». s’entrouvrira dans l’eau, si l’on ne le met jamais à sec. Aussi, puis-je dire que la longueur de mes peines m’a prodigieusement affaibli ; et je me trouve contraint de devenir vieux avant le temps. »
Ovide. De Ponto libri IV, cum interpretatione gallica — Les Quatre Livres des épîtres d’Ovide, écrites à plusieurs de ses amis, du lieu de son exil dans la province de Pont, trad. du latin par Michel de Marolles. Paris : L. Billaine, 1661.
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Enregistrements sonores
- Béatrice Commengé et Danièle Robert à propos de Tristes et de Pontiques. (France Culture).
- Lecture partielle de Pontiques par ~SPQR, dans la traduction de Charles Nisard. (Audiocité).
- Romain de Becdelièvre à propos de Tristes et de Pontiques. (France Culture).
Œuvres imprimées
- Traduction de Pontiques par Charles Nisard (éd. électronique). (Site de Philippe Remacle).
- Traduction de Pontiques par Jean Marin de Kervillars (1798-1799). (Google Livres).
- Traduction de Pontiques par Jean Marin de Kervillars (1798-1799), copie. (Google Livres).
- Traduction de Pontiques par Jean Marin de Kervillars (1798-1799), copie 2. (Google Livres).
- Traduction de Pontiques par Jean Marin de Kervillars (1798-1799), copie 3. (Google Livres).
- Traduction de Pontiques par Jean Marin de Kervillars (1798-1799), copie 4. (Google Livres).
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- Traduction de Pontiques par Jean Marin de Kervillars (1798-1799), copie 6. (Google Livres).
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- Traduction de Pontiques par Jean Marin de Kervillars (1798-1799), copie 8. (American Libraries).
- Traduction de Pontiques par Étienne Algay de Martignac (1697). (Google Livres).
- Traduction de Pontiques par Étienne Algay de Martignac (1750). (Google Livres).
- Édition et traduction de Pontiques par Charles Nisard (1838). (Google Livres).
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- Édition et traduction de Pontiques par Charles Nisard (1843). (Google Livres).
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- Édition et traduction de Pontiques par Charles Nisard (1850), copie 10. (Google Livres).
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- Édition et traduction de Pontiques par Charles Nisard (1861). (Google Livres).
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- Édition et traduction de Pontiques par Marie Nicolas Joseph Caresme (éd. électronique). (Roma quadrata).
- Édition et traduction de Pontiques par Marie Nicolas Joseph Caresme, revue par Jean-Pierre Charpentier (1875). (Google Livres).
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- Édition et traduction de Pontiques par Marie Nicolas Joseph Caresme, revue par Jean-Pierre Charpentier (1886). (Google Livres).
- Édition et traduction de Pontiques par Michel de Marolles (1661). (Google Livres).
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Autour de Tristes

Citations
« Parve — nec invideo — sine me, liber, ibis in Urbem :
Ei mihi, quod domino non licet ire tuo !
Vade, sed incultus, qualem decet exulis esse ;
Infelix habitum temporis hujus habe.
Nec te purpureo velent vaccinia fuco —
Non est conveniens luctibus ille color »Tristia sur Wikisource latina, [en ligne], consulté le 1er novembre 2025.
« Mon livre, vous irez à Rome, et vous irez à Rome sans moi : je n’en suis point jaloux ; mais hélas ! que n’est-il permis à votre maître d’y aller lui-même. Partez, mais sans appareil, comme il convient au livre d’un auteur exilé. Ouvrage infortuné ! que votre parure soit conforme au temps où nous sommes. Ne soyez point couvert d’un maroquin de couleur de pourpre ; tout ce brillant ne sied pas bien dans un temps de deuil et de larmes. »
Ovide. Les Élégies d’Ovide pendant son exil [t. I, Élégies des Tristes], trad. du latin par Jean Marin de Kervillars. Paris : d’Houry fils, 1723.
« Allons, j’y consens, petit livre : sans moi tu iras à la Ville,
Là où ton maître, hélas ! n’a point le droit d’aller.
Va, donc, mais négligé, tel qu’il convient à mon exil ;
Revêts, infortuné, la livrée de mon sort.
Point de myrtille afin de te farder de pourpre —
Ce n’est pas la couleur qui sied à ma détresse »Ovide. Les Tristes : poèmes choisis, trad. du latin par Dominique Poirel. Paris : La Différence, coll. « Orphée », 1989.
« Va, petit livre, j’y consens, va sans moi dans cette ville où, hélas ! il ne m’est point permis d’aller, à moi qui suis ton père ; va, mais sans ornements, comme il convient au fils de l’exilé ; et malheureux, adopte les insignes du malheur. Que le vaciet10« Vaciet » s’est dit pour « airelle myrtille (Vaccinium myrtillus) ». ne te farde point de sa teinture de pourpre ; cette couleur n’est pas la couleur du deuil »
Ovide. Œuvres complètes. […] Les Tristes ; Les Pontiques […], trad. du latin par Charles Nisard. Paris : J.-J. Dubochet et Cie, coll. « Collection des auteurs latins », 1838.
« Petit livre, je le veux bien, sans moi tu t’en iras dans la ville où, moi, ton maître, hélas ! je ne peux pas aller. Va, mais sans ornement, comme il sied à un fils d’exilé. Malheureux, prends l’habit des jours où tu vis. Point de vaciet pour te farder de pourpre : cette couleur ne convient pas au deuil. »
Ovide. Les Tristes ; Les Pontiques ; Ibis ; Le Noyer ; Halieutiques, trad. du latin par Émile Ripert. Paris : Garnier frères, coll. « Classiques Garnier », 1937.
« Petit livre — je n’en suis pas jaloux — tu iras sans moi à Rome. Hélas ! il est interdit à ton maître d’y aller. Va, mais sans ornement, comme il convient au livre d’un exilé. Malheureux, prends l’habit de circonstance ! Point de myrtilles pour te farder de leur teinture pourpre — cette couleur sied mal à la tristesse »
Ovide. Tristes, trad. du latin par Jacques André. Paris : Les Belles Lettres, coll. « Collection des Universités de France », 1968.
« Petit livre, je ne m’oppose pas à ton bonheur : tu iras à Rome sans moi, à Rome, hélas ! où ne peut aller ton père. Pars, mais sans ornement, comme il convient au fils d’un exilé ; malheureux, prends la livrée du malheur : point de vaciet pour te revêtir de sa teinture de pourpre ; cette couleur sied mal à la tristesse »
Ovide. Œuvres choisies, t. II. […] Les Tristes, trad. du latin par Armand-Balthazard Vernadé, revue par Émile Pessonneaux. Paris : Garnier frères, 1861.
« Petit volume, je ne m’oppose pas à ton bonheur : tu iras à Rome sans moi, à Rome, hélas ! où ne peut aller ton père. Pars, mais sans ornement, comme il convient à l’œuvre d’un exilé ; infortuné, garde la livrée du malheur : point de vaciet pour te revêtir de sa teinture de pourpre ; cette riche nuance sied mal à la tristesse »
Ovide. Œuvres complètes d’Ovide, t. IX, [Tristes], trad. du latin par Armand-Balthazard Vernadé. Paris : C.-L.-F. Panckoucke, coll. « Bibliothèque latine-française », 1834.
« Tu veux donc aller sans moi à Rome, mon livre ? Je n’envie point ton bonheur. Hélas ! que n’est-il permis à ton maître de t’accompagner. Vas-y, mais sans ornement comme doit être un banni. Couvre-toi selon l’état où ton malheur t’a réduit, non pas d’une couverture teinte en pourpre et en violet, car cette couleur sied mal au deuil. »
Ovide. Les Œuvres, trad. du latin par Étienne Algay de Martignac. Lyon, 1697.
« C’est sans moi, petit livre (et je ne t’en veux pas), que tu iras à Rome ;
Hélas ! à moi, ton maître, il n’est pas permis d’y aller !
Vas-y, mais sans apprêts, comme il convient aux exilés ;
Revêts l’aspect, infortuné, de ma situation.
Pas d’airelles pour te couvrir d’une teinture pourpre :
Cette couleur ne convient pas à l’affliction »Ovide. Les Tristes ; Les Pontiques, trad. du latin par Danièle Robert. Arles : Actes Sud, coll. « Babel », 2020.
« Petit livre
Hélas
Va sans moi dans la ville où je suis interditVa tout simple
Sans ornements savants
Comme il sied aux exilésUn habit de tous les jours
Les déshérités ne portent pas la pourpre
Le deuil ne se fait pas en rouge »Ovide. Tristes ; Pontiques, trad. du latin par Marie Darrieussecq. Paris : P.O.L, 2008.
« Petit livre, je ne dis pas non : tu iras à Rome sans moi — à Rome, hélas, où ton maître n’a plus le droit d’aller ! Vas-y, mais mal vêtu, comme il sied au livre d’un exilé. Prends, malheureux, la tenue de cette triste saison de ma vie. Je ne te veux pas fardé de la teinture pourpre des airelles : un tel éclat ne convient pas au deuil. »
Ovide. L’Exil et le Salut : Tristes et Pontiques, trad. du latin par Chantal Labre. Paris : Arléa, coll. « Retour aux grands textes », 1991.
« Mon petit livre, ce sera donc sans moi que tu feras le voyage de Rome (je ne t’en porte point d’envie), mais j’ai bien du regret qu’il ne soit pas permis à ton maître de le faire aussi bien que toi. Hé bien ! je te donne congé ; mais allant à Rome, que ce soit sans équipage. N’y porte point d’ornement, et sois tel que doit être un pauvre banni, avec un habit de la saison, lequel soit proportionné à ton malheur. Qu’un violet obscur mélangé avec de la pourpre n’enrichisse point ta couverture ; cette couleur n’est pas séante pour le deuil. »
Ovide. Tristium libri V, cum interpretatione gallica — Les Tristes d’Ovide, trad. du latin par Michel de Marolles. Paris : L. Billaine, 1661.
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Enregistrements sonores
- Béatrice Commengé et Danièle Robert à propos de Tristes et de Pontiques. (France Culture).
- Romain de Becdelièvre à propos de Tristes et de Pontiques. (France Culture).
Œuvres imprimées
- Traduction de Tristes par Armand-Balthazard Vernadé (éd. électronique). (Roma quadrata).
- Traduction de Tristes par Charles Nisard (éd. électronique). (Site de Philippe Remacle).
- Traduction de Tristes par Jean Marin de Kervillars (1798-1799). (American Libraries).
- Traduction de Tristes par Jean Marin de Kervillars (1798-1799), copie. (Google Livres).
- Traduction de Tristes par Jean Marin de Kervillars (1798-1799), copie 2. (Google Livres).
- Traduction de Tristes par Jean Marin de Kervillars (1798-1799), copie 3. (Google Livres).
- Traduction de Tristes par Jean Marin de Kervillars (1798-1799), copie 4. (Google Livres).
- Traduction de Tristes par Jean Marin de Kervillars (1798-1799), copie 5. (Google Livres).
- Traduction de Tristes par Jean Marin de Kervillars (1798-1799), copie 6. (Google Livres).
- Traduction de Tristes par Jean Marin de Kervillars (1798-1799), copie 7. (Google Livres).
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- Traduction partielle de Tristes par Jean-Jacques Le Franc de Pompignan (1822), copie. (Google Livres).
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- Édition et traduction de Tristes par Charles Nisard (1869), copie. (Bibliothèque nationale de France (BnF)).
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- Édition et traduction de Tristes par Jean Marin de Kervillars (1723), copie. (Google Livres).
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- Édition et traduction de Tristes par Jean Marin de Kervillars (1738), copie. (Google Livres).
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- Édition et traduction de Tristes par Jean Marin de Kervillars (1756), copie. (Google Livres).
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- Édition et traduction de Tristes par Michel de Marolles (1661). (Google Livres).
- Édition et traduction de Tristes par Michel de Marolles (1661), copie. (Google Livres).
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- Édition et traduction de Tristes par Étienne Algay de Martignac (1697). (Google Livres).
- Édition et traduction de Tristes par Étienne Algay de Martignac (1697), copie. (Google Livres).
- Édition et traduction de Tristes par Étienne Algay de Martignac (1697), copie 2. (American Libraries).
- Édition et traduction partielles de Tristes par Eugène Fallex (1878). (Bibliothèque nationale de France (BnF)).
- Édition et traduction partielles de Tristes par Eugène Fallex (1878), copie. (Google Livres).
- Édition et traduction partielles de Tristes par Jean-Jacques Le Franc de Pompignan (1784). (Google Livres).
- Édition et traduction partielles de Tristes par Jean-Jacques Le Franc de Pompignan (1784), copie. (Google Livres).
- Édition et traduction partielles de Tristes par Jean-Jacques Le Franc de Pompignan (1784), copie 2. (Google Livres).
- Édition et traduction partielles de Tristes par Jean-Jacques Le Franc de Pompignan (1784), copie 3. (Google Livres).
- Édition et traduction partielles de Tristes par Jean-Jacques Le Franc de Pompignan (1784), copie 4. (Google Livres).
- Édition et traduction partielles de Tristes par Jean-Jacques Le Franc de Pompignan (1784), copie 5. (Google Livres).
- Édition et traduction partielles de Tristes par Jean-Jacques Le Franc de Pompignan (1784), copie 6. (Bibliothèque nationale de France (BnF)).
- Édition et traduction partielles de Tristes par Jean-Jacques Le Franc de Pompignan (1784), copie 7. (Google Livres).
- Édition et traduction partielles de Tristes par Jean-Jacques Le Franc de Pompignan (1784), copie 8. (Google Livres).
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