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Galland, « Les “Mille et une Nuits” : contes arabes. Tome III »

XVIIIᵉ siècle

XVIIIe siècle

Il s’agit des «Mille et une Nuits» («Alf layla wa-layla» 1), . Ra­re­ment, la de la et les de l’ ont été dé­pen­sés dans une œuvre avec plus de pro­di­ga­lité; et ra­re­ment, une œuvre a eu une réus­site plus écla­tante que celle des «Mille et une Nuits» de­puis qu’elle a été trans­por­tée en par l’orientaliste An­toine Gal­land au com­men­ce­ment du XVIIIe siècle. De là, elle a im­mé­dia­te­ment rem­pli le de sa re­nom­mée, et de­puis, son n’a fait que croître de jour en jour, sans souf­frir ni des ca­prices de la ni du chan­ge­ment des goûts. Quelle ex­tra­or­di­naire fé­con­dité dans ces ! Quelle va­riété! Avec quel in­épui­sable in­té­rêt on suit les en­chan­te­resses de Sind­bad le Ma­rin ou les mer­veilles opé­rées par la lampe d’Aladdin : «C’est dans l’ même que l’enfance du genre hu­main se montre avec toute sa grâce et toute sa naï­veté», dit Édouard Gaut­tier d’Arc 2. «On y cher­che­rait en vain ou ces teintes mé­lan­co­liques du Nord, ou ces al­lu­sions sé­rieuses et pro­fondes [des] Grecs. [Ici], on voit que l’imagination ne s’est mise en œuvre que pour se créer à elle-même des plai­sirs… Ces gé­nies qu’elle a pro­duits, vont ré­pan­dant par­tout les perles, l’, les dia­mants; ils élèvent en un ins­tant des su­perbes; ils livrent à ce­lui qu’ils fa­vo­risent, des hou­ris 3 en­chan­te­resses; ils l’accablent, en un mot, de toutes les jouis­sances, sans qu’il se donne au­cune peine pour les ac­qué­rir. Il faut aux Orien­taux un fa­cile et com­plet; ils le veulent sans nuages, comme le qui les éclaire.»

  1. En «ألف ليلة وليلة». Au­tre­fois trans­crit «Alef léï­lét oué-léï­lét», «Alef lei­let we lei­let», «Alef leila wa leila» ou «Alf laila wa-laila». Icône Haut
  2. Pré­face à l’édition de 1822-1823. Icône Haut
  1. Beau­tés cé­lestes qui, se­lon le , se­ront les épouses des fi­dèles. Icône Haut

« L’Étonnante Aventure du pauvre musicien »

dans Antonin Artaud, « Œuvres complètes. Tome I » (éd. Gallimard, Paris), p. 206-210

dans An­to­nin Ar­taud, «Œuvres com­plètes. Tome I» (éd. Gal­li­mard, Pa­ris), p. 206-210

Il s’agit d’«Une mé­lo­die se­crète au “biwa” fait pleu­rer des » («Biwa no hi­kyoku yû­rei wo na­ka­shimu» 1), une des plus belles du , plus connue sous le titre de «Hôi­chi le Sans-oreilles» («Mimi-na­shi Hôi­chi» 2). Ti­rée d’un re­cueil d’histoires étranges pu­blié en 1782 à Kyôto 3, la lé­gende de «Hôi­chi le Sans-oreilles» n’est, de fa­çon pa­ra­doxale, fa­mi­lière aux Ja­po­nais que dans la ver­sion ré­di­gée en 1903 par un écri­vain étran­ger : Laf­ca­dio Hearn. Tra­duc­teur de Gau­tier, de Mau­pas­sant, de Bal­zac, de Mé­ri­mée, de Flau­bert, de Bau­de­laire, de Loti, Hearn na­quit dans les Io­niennes. Son père était un mé­de­cin ir­lan­dais dans l’armée bri­tan­nique, sa mère — une Grecque de très bonne . Ils avaient dû s’épouser en ca­chette. «Deux races, deux na­tions, deux re­li­gions mar­quèrent l’enfant de leur em­preinte et, très tôt, elles an­crèrent en lui ce cos­mo­po­li­tisme qui de­vait lui per­mettre de sub­sti­tuer un jour une d’élection à son pays d’origine» 4. Mais l’Angleterre ayant cédé les îles Io­niennes à la , son père re­ga­gna Du­blin avec femme et en­fant. La chose se passa . Sa mère, tran­sie par ce cli­mat gris et , si dif­fé­rent de la blan­cheur de sa Grèce na­tale, prit la fuite; son père fit an­nu­ler le , se re­ma­ria et par­tit en Inde. Hearn, aban­donné et sans pa­rents, fut adopté par une vieille tante ca­tho­lique, ex­trê­me­ment dé­vote, qui lui faire des études dans un mo­nas­tère en , puis l’envoya à dix-neuf ans en . On le vit sur­gir à Cin­cin­nati comme cor­rec­teur dans un jour­nal. On l’employa à des re­por­tages, où il se mon­tra d’une ha­bi­leté sur­pre­nante. Son ta­lent d’écrivain ayant en­fin percé, il prit le che­min de La Loui­siane. En 1878, celle-ci avait en­core un par­fum bien . On le voit dans les ar­ticles de Hearn, dont beau­coup parlent de la France, mais aussi de Mar­ti­nique, d’Haïti, de l’île Mau­rice, de Guyane. Et puis, comme tou­jours avec Hearn, il lui fal­lut des ho­ri­zons en­core plus loin­tains. La grande ex­po­si­tion ja­po­naise, qui eut lieu à La -Or­léans en 1885, lui ins­pira en pre­mier l’idée de s’embarquer pour le . Ce fut à qua­rante ans qu’il ar­riva au pays du , pauvre, apa­tride, pré­ci­pité là où la des­ti­née l’appelait, sans but dans l’. Il en com­mença une autre, en­tiè­re­ment nou­velle. Et d’abord, il se fit Ja­po­nais.

  1. En ja­po­nais «琵琶秘曲泣幽霊». Icône Haut
  2. En ja­po­nais «耳なし芳一». Icône Haut
  1. Ce re­cueil s’intitule «Les His­toires étranges à sa­vou­rer chez », ou «Gayû ki­dan» («臥遊奇談»). Icône Haut
  2. Ste­fan Zweig, «Hommes et Des­tins». Icône Haut

Galland, « Les “Mille et une Nuits” : contes arabes. Tome II »

XVIIIᵉ siècle

XVIIIe siècle

Il s’agit des «Mille et une Nuits» («Alf layla wa-layla» 1), arabes. Ra­re­ment, la de la et les de l’ ont été dé­pen­sés dans une œuvre avec plus de pro­di­ga­lité; et ra­re­ment, une œuvre a eu une réus­site plus écla­tante que celle des «Mille et une Nuits» de­puis qu’elle a été trans­por­tée en par l’orientaliste An­toine Gal­land au com­men­ce­ment du XVIIIe siècle. De là, elle a im­mé­dia­te­ment rem­pli le de sa re­nom­mée, et de­puis, son n’a fait que croître de jour en jour, sans souf­frir ni des ca­prices de la ni du chan­ge­ment des goûts. Quelle ex­tra­or­di­naire fé­con­dité dans ces contes! Quelle va­riété! Avec quel in­épui­sable in­té­rêt on suit les en­chan­te­resses de Sind­bad le Ma­rin ou les mer­veilles opé­rées par la lampe d’Aladdin : «C’est dans l’ même que l’enfance du genre hu­main se montre avec toute sa grâce et toute sa naï­veté», dit Édouard Gaut­tier d’Arc 2. «On y cher­che­rait en vain ou ces teintes mé­lan­co­liques du Nord, ou ces al­lu­sions sé­rieuses et pro­fondes [des] Grecs. [Ici], on voit que l’imagination ne s’est mise en œuvre que pour se créer à elle-même des plai­sirs… Ces gé­nies qu’elle a pro­duits, vont ré­pan­dant par­tout les perles, l’, les dia­mants; ils élèvent en un ins­tant des su­perbes; ils livrent à ce­lui qu’ils fa­vo­risent, des hou­ris 3 en­chan­te­resses; ils l’accablent, en un mot, de toutes les jouis­sances, sans qu’il se donne au­cune peine pour les ac­qué­rir. Il faut aux Orien­taux un fa­cile et com­plet; ils le veulent sans nuages, comme le qui les éclaire.»

  1. En «ألف ليلة وليلة». Au­tre­fois trans­crit «Alef léï­lét oué-léï­lét», «Alef lei­let we lei­let», «Alef leila wa leila» ou «Alf laila wa-laila». Icône Haut
  2. Pré­face à l’édition de 1822-1823. Icône Haut
  1. Beau­tés cé­lestes qui, se­lon le , se­ront les épouses des fi­dèles. Icône Haut

Galland, « Les “Mille et une Nuits” : contes arabes. Tome I »

XVIIIᵉ siècle

XVIIIe siècle

Il s’agit des «Mille et une Nuits» («Alf layla wa-layla» 1), . Ra­re­ment, la de la et les de l’ ont été dé­pen­sés dans une œuvre avec plus de pro­di­ga­lité; et ra­re­ment, une œuvre a eu une réus­site plus écla­tante que celle des «Mille et une Nuits» de­puis qu’elle a été trans­por­tée en par l’orientaliste An­toine Gal­land au com­men­ce­ment du XVIIIe siècle. De là, elle a im­mé­dia­te­ment rem­pli le de sa re­nom­mée, et de­puis, son n’a fait que croître de jour en jour, sans souf­frir ni des ca­prices de la ni du chan­ge­ment des goûts. Quelle ex­tra­or­di­naire fé­con­dité dans ces ! Quelle va­riété! Avec quel in­épui­sable in­té­rêt on suit les en­chan­te­resses de Sind­bad le Ma­rin ou les mer­veilles opé­rées par la lampe d’Aladdin : «C’est dans l’ même que l’enfance du genre hu­main se montre avec toute sa grâce et toute sa naï­veté», dit Édouard Gaut­tier d’Arc 2. «On y cher­che­rait en vain ou ces teintes mé­lan­co­liques du Nord, ou ces al­lu­sions sé­rieuses et pro­fondes [des] Grecs. [Ici], on voit que l’imagination ne s’est mise en œuvre que pour se créer à elle-même des plai­sirs… Ces gé­nies qu’elle a pro­duits, vont ré­pan­dant par­tout les perles, l’, les dia­mants; ils élèvent en un ins­tant des su­perbes; ils livrent à ce­lui qu’ils fa­vo­risent, des hou­ris 3 en­chan­te­resses; ils l’accablent, en un mot, de toutes les jouis­sances, sans qu’il se donne au­cune peine pour les ac­qué­rir. Il faut aux Orien­taux un fa­cile et com­plet; ils le veulent sans nuages, comme le qui les éclaire.»

  1. En «ألف ليلة وليلة». Au­tre­fois trans­crit «Alef léï­lét oué-léï­lét», «Alef lei­let we lei­let», «Alef leila wa leila» ou «Alf laila wa-laila». Icône Haut
  2. Pré­face à l’édition de 1822-1823. Icône Haut
  1. Beau­tés cé­lestes qui, se­lon le , se­ront les épouses des fi­dèles. Icône Haut

Alloula, « Les Sangsues • Le Pain • La Folie de Salim • Les Thermes du Bon-Dieu »

éd. Actes Sud, coll. Papiers, Arles

éd. Actes Sud, coll. Pa­piers, Arles

Il s’agit des «Thermes du Bon-» («Ham­mam Rabi» 1) et autres pièces de M.  2, dra­ma­turge (XXe siècle). «Ab­del­ka­der était pas­sionné de », dit M. Gil­bert Grand­guillaume 3, «et il fal­lait l’être pour s’y lan­cer dans les an­nées Bou­me­diene 4, une pé­riode où la po­lice mi­li­taire était om­ni­pré­sente, la cen­sure gé­né­ra­li­sée, l’ ta­tillonne et déjà cor­rom­pue… Nul ne sait qui a armé la main des deux ir­res­pon­sables qui l’ont as­sas­siné le 10 mars 1994 à Oran alors qu’il sor­tait de sa mai­son.» Ce jour-là, l’ a perdu un qui avait saisi le sens pro­fond de la , qui œu­vrait à don­ner à son pays un théâtre qui fût com­pris de tous et qui em­prun­tât ses formes aux tra­di­tions sé­cu­laires. Car, pa­ral­lè­le­ment au théâtre de type oc­ci­den­tal, qu’on consom­mait en salle fer­mée et dans les , les po­pu­la­tions ru­rales de l’Algérie conti­nuaient à pra­ti­quer un théâtre tra­di­tion­nel : ce­lui de la «» 5an­neau»). La re­pré­sen­ta­tion de ce théâ­tral se dé­rou­lait en plein air, gé­né­ra­le­ment les jours de mar­ché. Les spec­ta­teurs s’asseyaient à même le sol, épaule contre épaule, et for­maient ainsi un cercle al­lant de cinq à douze mètres de dia­mètre. À l’intérieur de ce cercle, évo­luait seul le «med­dah» 6conteur»), qui était à la fois l’acteur et l’auteur, in­ter­pré­tant à sa fa­çon toutes sortes de . Un ac­ces­soire or­di­naire — sa cape, ses chaus­sures ou une en­tre­po­sée au centre de l’ théâ­tral — de­ve­nait pour les au­di­teurs, sous l’emprise de son verbe ma­gique, une source em­poi­son­née, une bête fé­roce bles­sée ou une épouse aban­don­née. «Après l’indépendance na­tio­nale… les pre­mières trans­for­ma­tions pro­je­tèrent l’activité théâ­trale [vers les cam­pagnes]. Les re­pré­sen­ta­tions se don­naient en plein air, au grand jour, gra­tui­te­ment et sur toutes sortes d’espaces : cours d’écoles, chan­tiers de agri­coles en construc­tion, ré­fec­toires à l’intérieur d’usines… C’est pré­ci­sé­ment dans ce grand en­thou­siasme, dans ce grand dé­pla­ce­ment vers les masses la­bo­rieuses… que notre ac­ti­vité théâ­trale de type [oc­ci­den­tal] a ré­vélé ses li­mites. En ef­fet, les nou­veaux pay­sans ou d’origine pay­sanne avaient des com­por­te­ments cultu­rels propres face à la re­pré­sen­ta­tion théâ­trale. Les spec­ta­teurs s’asseyaient à même le sol, et for­maient na­tu­rel­le­ment une “halqa” au­tour de notre dis­po­si­tif scé­nique… Cer­tains spec­ta­teurs tour­naient fran­che­ment le dos à la de jeu pour mieux écou­ter le texte», dit M. Al­loula 7. Le mou­ve­ment théâ­tral de M. Al­loula, mal­gré ses li­mites et les obs­tacles qui ja­lon­nèrent son iti­né­raire, contri­bua ainsi pour une part ap­pré­ciable à la ar­tis­tique de l’Algérie.

  1. En «حمام ربي». Par­fois trans­crit «Ḥammām Rabbī». Icône Haut
  2. En arabe عبد القادر علولة. Icône Haut
  3. «Ab­del­ka­der Al­loula, un homme de culture al­gé­rienne», p. 10-11. Icône Haut
  4. Les an­nées 1970. Icône Haut
  1. En arabe حلقة. Icône Haut
  2. En arabe مداح. Icône Haut
  3. «La Re­pré­sen­ta­tion de type non aris­to­té­li­cien dans l’activité théâ­trale en Al­gé­rie», p. 126-128. Icône Haut

Alloula, « Les Généreux • Les Dires • Le Voile »

éd. Actes Sud, coll. Papiers, Arles

éd. Actes Sud, coll. Pa­piers, Arles

Il s’agit des «Gé­né­reux» («El Ajouad» 1) et autres pièces de M.  2, dra­ma­turge (XXe siècle). «Ab­del­ka­der était pas­sionné de », dit M. Gil­bert Grand­guillaume 3, «et il fal­lait l’être pour s’y lan­cer dans les an­nées Bou­me­diene 4, une pé­riode où la po­lice mi­li­taire était om­ni­pré­sente, la cen­sure gé­né­ra­li­sée, l’ ta­tillonne et déjà cor­rom­pue… Nul ne sait qui a armé la main des deux ir­res­pon­sables qui l’ont as­sas­siné le 10 mars 1994 à Oran alors qu’il sor­tait de sa mai­son.» Ce jour-là, l’ a perdu un qui avait saisi le sens pro­fond de la , qui œu­vrait à don­ner à son pays un théâtre qui fût com­pris de tous et qui em­prun­tât ses formes aux tra­di­tions sé­cu­laires. Car, pa­ral­lè­le­ment au théâtre de type oc­ci­den­tal, qu’on consom­mait en salle fer­mée et dans les , les po­pu­la­tions ru­rales de l’Algérie conti­nuaient à pra­ti­quer un théâtre tra­di­tion­nel : ce­lui de la «» 5an­neau»). La re­pré­sen­ta­tion de ce théâ­tral se dé­rou­lait en plein air, gé­né­ra­le­ment les jours de mar­ché. Les spec­ta­teurs s’asseyaient à même le sol, épaule contre épaule, et for­maient ainsi un cercle al­lant de cinq à douze mètres de dia­mètre. À l’intérieur de ce cercle, évo­luait seul le «med­dah» 6conteur»), qui était à la fois l’acteur et l’auteur, in­ter­pré­tant à sa fa­çon toutes sortes de . Un ac­ces­soire or­di­naire — sa cape, ses chaus­sures ou une en­tre­po­sée au centre de l’ théâ­tral — de­ve­nait pour les au­di­teurs, sous l’emprise de son verbe ma­gique, une source em­poi­son­née, une bête fé­roce bles­sée ou une épouse aban­don­née. «Après l’indépendance na­tio­nale… les pre­mières trans­for­ma­tions pro­je­tèrent l’activité théâ­trale [vers les cam­pagnes]. Les re­pré­sen­ta­tions se don­naient en plein air, au grand jour, gra­tui­te­ment et sur toutes sortes d’espaces : cours d’écoles, chan­tiers de agri­coles en construc­tion, ré­fec­toires à l’intérieur d’usines… C’est pré­ci­sé­ment dans ce grand en­thou­siasme, dans ce grand dé­pla­ce­ment vers les masses la­bo­rieuses… que notre ac­ti­vité théâ­trale de type [oc­ci­den­tal] a ré­vélé ses li­mites. En ef­fet, les nou­veaux pay­sans ou d’origine pay­sanne avaient des com­por­te­ments cultu­rels propres face à la re­pré­sen­ta­tion théâ­trale. Les spec­ta­teurs s’asseyaient à même le sol, et for­maient na­tu­rel­le­ment une “halqa” au­tour de notre dis­po­si­tif scé­nique… Cer­tains spec­ta­teurs tour­naient fran­che­ment le dos à la de jeu pour mieux écou­ter le texte», dit M. Al­loula 7. Le mou­ve­ment théâ­tral de M. Al­loula, mal­gré ses li­mites et les obs­tacles qui ja­lon­nèrent son iti­né­raire, contri­bua ainsi pour une part ap­pré­ciable à la ar­tis­tique de l’Algérie.

  1. En «الأجواد». Par­fois trans­crit «El-Ad­jouad», «El Aǧwād» ou «El Agouad». Icône Haut
  2. En arabe عبد القادر علولة. Icône Haut
  3. «Ab­del­ka­der Al­loula, un homme de culture al­gé­rienne», p. 10-11. Icône Haut
  4. Les an­nées 1970. Icône Haut
  1. En arabe حلقة. Icône Haut
  2. En arabe مداح. Icône Haut
  3. «La Re­pré­sen­ta­tion de type non aris­to­té­li­cien dans l’activité théâ­trale en Al­gé­rie», p. 126-128. Icône Haut