Il s’agit des « Amours de Léandre et de Héro » (« Ta kath’ Hêrô kai Leandron »1), poème de trois cent quarante vers, petit chef-d’œuvre hellénistique qui se ressent de l’époque de décadence, et que Hermann Köchly définit comme « la dernière rose du jardin déclinant des lettres grecques » (« ultimam emorientis Græcarum litterarum horti rosam »). En effet, si quelquefois un ton simple, naïf et touchant élève ce poème jusqu’à ceux des anciens Grecs, ces peintres si vrais de la nature, quelquefois aussi des traces évidentes trahissent une origine tardive du IVe-Ve siècle apr. J.-C. tant dans la teinte trop sentimentale que dans les ornements trop recherchés par lesquels l’auteur a peint les amours et la mort de ses deux héros. Imaginerait-on qu’un poète du temps d’Homère eût pu écrire comme Musée : « Que de grâces brillent sur sa personne ! Les Anciens ont compté trois Grâces : quelle erreur ! L’œil riant de Héro pétille de cent grâces »2. Mais à travers ces aimables défauts circule une vague et ardente sensibilité, une mélancolie vaporeuse qui annonce par avance le romantisme des années 1800. Si Byron a traversé l’Hellespont à la nage, c’est parce que Léandre l’avait fait pour les beaux yeux de celle qu’il aimait. Le lecteur ne sait peut-être pas la légende à l’origine des « Amours de Léandre et de Héro ». La voici : Héro était une prêtresse à Sestos, et Léandre un jeune homme d’Abydos, deux villes situées en face l’une de l’autre sur les bords de l’Hellespont, là où le canal est le moins large. Pour aller voir Héro, Léandre traversait tous les soirs l’Hellespont à la nage ; un flambeau allumé par son amante sur une tour élevée lui servait de phare. Hélas ! Léandre se noya pendant une tempête et fut jeté par la mer au pied de la tour de Héro qui, le reconnaissant le lendemain matin, se précipita du haut de cet édifice et se tua ainsi auprès de son amant. Tel est, en sa primitive simplicité, le fait divers sur lequel un dénommé Musée le Grammairien3 a fait son poème. Ce fait divers est ancien. Virgile et Ovide le connaissaient ; Strabon, qui écrivait sur la géographie à la même époque où Virgile et Ovide se distinguaient par leurs vers — Strabon, dis-je, dans sa description d’Abydos et de Sestos, fait mention expresse de la tour de Héro ; enfin, Martial y puise le sujet de deux de ses épigrammes, dont l’une4 a été si bien traduite par Voltaire :
« Léandre conduit par l’Amour
En nageant disait aux orages :
“Laissez-moi gagner les rivages,
Ne me noyez qu’à mon retour” »5.
Il n’existe pas moins de treize traductions françaises des « Amours de Léandre et de Héro », mais s’il fallait n’en choisir qu’une seule, je choisirais celle de Gabriel de La Porte du Theil, revue par Jean-Baptiste Gail.
« Ἡ δ’ ἔτι δηθύνοντος ἐπαγρύπνοισιν ὀπωπαῖς
Ἵστατο κυμαίνουσα πολυκλαύτοισι μερίμναις.
Ἤλυθε δ’ ἠριγένεια καὶ οὐκ ἴδε νυμφίον Ἡρώ.
Πάντοθι δ’ ὄμμα τίταινεν ἐς εὐρέα νῶτα θαλάσσης,
Εἴ που ἐσαθρήσειεν ἀλωόμενον παρακοίτην
Λύχνου σϐεννυμένοιο. παρὰ κρηπῖδα δὲ πύργου
Δρυπτόμενον σπιλάδεσσιν ὅτ’ ἔδρακε νεκρὸν ἀκοίτην,
Δαιδαλέον ῥήξασα περὶ στήθεσσι χιτῶνα
Ῥοιζηδὸν προκάρηνος ἀπ’ ἠλιϐάτου πέσε πύργου.
Κὰδ δ’ Ἡρὼ τέθνηκε σὺν ὀλλυμένῳ παρακοίτῃ.
Ἀλλήλων δ’ ἀπόναντο καὶ ἐν πυμάτῳ περ ὀλέθρῳ. »
— Fin dans la langue originale
« Héro dans l’attente, et l’œil ouvert, roulait dans son cœur mille pensées funestes. L’aurore vient, elle n’aperçoit pas son époux, elle promène de tous côtés ses regards sur le vaste dos de la mer. Peut-être, le fanal éteint, son amant s’est-il égaré ; elle le voit au pied de sa tour, déchiré par les rocs. À cet aspect, elle arrache le voile brillant qui couvre son sein, et la tête la première, se précipite avec fracas du haut de la tour. Ainsi périt Héro sur le corps de son amant : le trépas même ne put les séparer. »
— Fin dans la traduction de La Porte du Theil, revue par Gail (XVIIIe siècle)
« Héro, dans l’attente, l’œil toujours ouvert, repassait en son cœur mille pensées accablantes. Le jour vient, et son amant n’a point paru : elle promène ses regards sur le vaste dos de la mer, croyant que peut-être, le fanal éteint, il s’est égaré ; elle le voit au bas de sa demeure, tout déchiré par les rocs. À cet aspect, elle arrache le voile délicat qui couvre son sein et se précipite du haut de la tour. Ainsi mourut Héro sur le corps de son amant, et le trépas même ne put les séparer. »
— Fin dans la traduction de La Porte du Theil (XVIIIe siècle)
« Héro, les yeux fixés sur les flots, semble diriger encore la course de son amant. Son âme inquiète est en proie aux plus cruels soupçons. L’aurore commence enfin à paraître : Héro n’aperçoit point son époux. Elle porte çà et là ses regards avides sur la vaste étendue de la mer pour découvrir si Léandre, privé de la lumière du flambeau, n’erre point sur les ondes. Ô spectacle douloureux ! Cette amante désolée voit au pied de la tour son cher époux inanimé et déchiré par les pointes des rochers. À cette vue, elle met en pièces le voile brillant qui couvre son sein d’albâtre, jette un cri aigu et se précipite aussitôt dans la mer. Ainsi périt Héro après la mort déplorable de son époux ; et le plus grand des malheurs réunit enfin pour toujours ces deux amants fidèles. »
— Fin dans la traduction de Julien-Jacques Moutonnet-Clairfons (XVIIIe siècle)
« Héro, pendant qu’il tarde encore, reste l’œil vigilant et l’âme abandonnée aux inquiétudes les plus déchirantes. L’aurore est venue ; Héro n’aperçoit point son époux, elle promène çà et là ses regards sur le dos de la vaste mer, pour voir si Léandre, privé de la lumière du flambeau, n’erre point sur les ondes. Elle aperçoit au pied de la tour son époux sans vie, et déchiré par les pointes des rocs. À cet aspect, elle arrache le beau vêtement qui couvre son sein, jette un cri aigu et se précipite du sommet de la tour. Ainsi périt Héro sur le corps de son amant ; et ils furent unis jusque dans leur trépas. »
— Fin dans la traduction de Jacques-François Grégoire et François-Zénon Collombet (XIXe siècle)
« Héro, tandis qu’il tarde encore, des yeux veille,
Et flotte dans la crainte et puis prête l’oreille.
L’aurore vient, Héro ne voit point son amant ;
Elle a beau promener un regard défiant,
Comme pour découvrir un époux qui peut-être
N’est qu’égaré. Soudain, au bas de sa fenêtre,
Le voilà cet amant, déchiré, brisé, mort !
Lacérant aussitôt sa robe aux filets d’or,
Du sommet de la tour, elle se jette et crie,
Et sur son époux mort s’en va finir sa vie.
Ainsi ces deux amants se possédaient encor. »
— Fin dans la traduction de Paul Ristelhuber (XIXe siècle)
« Le calme enfin renaît, ramené par l’aurore ;
Héro n’aperçoit pas cet amant qu’elle adore ;
Elle parcourt des yeux le vaste dos des mers,
Et roule dans son cœur mille soupçons divers.
Peut-être qu’égaré dans sa course inutile,
De l’abri d’un rocher il s’est fait un asile ?
Peut-être encore… ? Ô ciel ! Sanglant, défiguré,
Aux pieds de sa prison, par les rocs déchiré,
Elle voit… Quel aspect ! De douleur transportée,
Aussitôt de la tour Héro, précipitée,
Sur le corps d’un amant rend le dernier soupir,
Et même le trépas ne peut les désunir. »
— Fin dans la traduction d’Anne-Louis Girodet, dit Girodet-Trioson (XIXe siècle)
« Parce qu’il tardait, elle restait là, debout, les yeux vigilants, agitée d’inquiétudes mêlées de bien des larmes. L’aurore arriva ; Héro n’aperçut pas son jeune époux ; de tout côté, elle tendait son regard sur le vaste dos de la mer, pour voir si, d’aventure, elle n’apercevrait pas son compagnon errant, car la lampe s’était éteinte. Lorsque, près du soubassement de la tour, elle distingua, brisé par les écueils, le cadavre de son amant, elle déchira autour de sa poitrine sa tunique brodée ; puis, en sifflant, son corps s’abattit, la tête la première, du sommet de la tour. C’est ainsi que périt Héro en même temps que son époux mourant. Et ils jouirent l’un de l’autre, éternellement, jusque dans l’abîme de la mort. »
— Fin dans la traduction de M. Pierre Orsini (éd. Les Belles Lettres, coll. des universités de France, Paris)
« Le cœur non moins troublé que la mer en courroux,
Héro veille, s’afflige, attendant son époux.
L’aurore luit ; Héro ne le voit point paraître :
Ses yeux dans le lointain l’apercevront peut-être…
S’il s’était égaré ! C’est tout ce qu’elle craint…
Dans l’ombre de la nuit, le flambeau s’est éteint…
Mais sitôt qu’elle voit sur ces roches funestes
Flotter de son amant les déplorables restes,
Elle met en lambeaux les voiles de son sein ;
Sur le corps de Léandre, elle se jette enfin,
Expire en l’embrassant. Ainsi la Mort rassemble
Ces deux cœurs que l’Amour forma pour vivre ensemble ! »
— Fin dans la traduction d’Antoine de Cournand (XIXe siècle)
« L’amante, l’œil ouvert, sur les flots égaré,
Des plus cruels soupçons tout le cœur dévoré,
Immobile, attendant le retour de l’aurore,
D’un vain espoir cherchait à se flatter encore.
Mais quel spectacle affreux ! Ciel ! Au pied de la tour
Elle voit étendu l’objet de son amour.
C’est lui-même ! Grands dieux ! Sa dépouille flottante
Est le triste jouet de la vague inconstante.
À cet horrible aspect elle tombe, et soudain
Arrache sa parure, ensanglante son sein,
Morne, pâle, mourante, un moment se ranime,
Pousse un grand cri, s’élance et tombe dans l’abîme.
Sur le sein de Léandre, elle vient expirer,
Et même le trépas n’a pu les séparer. »
— Fin dans la traduction de Charles-Louis Mollevaut (XIXe siècle)
« Héro veille. La nuit cède enfin à l’aurore,
Et Léandre en ses bras n’arrive point encore.
De prières sans nombre importunant les cieux,
Sur le vaste Hellespont, elle jette les yeux ;
Soudain elle aperçoit que la torche est éteinte.
De la terreur alors son cœur ressent l’atteinte,
Elle baisse la vue et voit de son amant
Tout auprès de la tour le cadavre sanglant.
Elle crie, et cédant à l’horreur qui l’agite,
En déchirant sa robe, elle se précipite.
Ainsi mourut Héro près de son époux mort,
Tous deux restant unis même en leur triste sort. »
— Fin dans une traduction anonyme (XIXe siècle)
« Elle, ne le voyant point venir, se tint sur le haut de la tour, l’œil aux aguets, l’âme en proie à la terreur. L’aube venue, elle promenait encore anxieusement ses regards sur la vaste étendue des flots, pour y découvrir son Léandre, égaré peut-être. Elle l’aperçut enfin, au pied de la tour, mais mort et déchiré par les récifs. Soudain elle pousse un cri de douleur, lacère ses vêtements sur sa poitrine et se jette, la tête la première, au bas de la tour. Elle tomba et mourut sur le corps inanimé de Léandre : ainsi ces deux amants parurent se posséder encore après leur mort. »
— Fin dans la traduction de Benjamin Barbé (XIXe siècle)
« Tandis6, Héro avait ses beaux yeux verts
Toujours au guet, vigilants et ouverts,
Et lors sur pieds pleurant, pensant, rêvant,
La misérable, en sa face levant,
Va voir du jour la claire étoile Aurore,
Et ne voit point son cher époux encore.
Par quoi, étant jà éteint le flambeau,
Deçà, delà, jeta son œil tant beau
Sur le grand dos de la mer, pour savoir
Si son ami navigant pourra voir.
Mais las ! sitôt qu’elle eut jeté sa vue
En contrebas, la pauvre dépourvue
Va voir au pied de la tour, déchiré
Contre les rocs, son ami désiré ;
Dont par fureur rompit son vêtement
Autour du sein ; puis tout subitement,
Jetant un cri de personne insensée,
Du haut en bas de la tour s’est lancée.
Ainsi Héro mourut, le cœur marri
D’avoir vu mort Léander son mari,
Et après mort, qui amants désassemble,
Se sont encor tous deux trouvés ensemble. »
— Fin dans la traduction de Clément Marot (XVIe siècle)
« Maudissant l’océan débordé
Et l’orage, Héro, qui veut croire vivant,
Malgré les flots tempétueux, celui qu’elle aime,
Cherche des yeux dans la nuit noire et dans le creux
Des lames son Léandre à jamais retardé
Par la mort, mais bientôt le jour point, et l’affreux
Spectacle se révèle ; elle voit, étendu,
Brisé sur les écueils, l’ami qu’elle a perdu.
Alors, elle rejette, en brisant d’un seul coup
Le fermoir, la mante agrafée à son cou
Et s’élance d’en haut sur les rochers hideux,
Et l’écume et les flots les recouvrent tous deux. »
— Fin dans la traduction de Mme Marguerite Yourcenar (dans « La Couronne et la Lyre : poèmes », éd. Gallimard, Paris)
« Illa autem, morante adhuc Leandro, vigilibus oculis
Stabat fluctuans luctuosis curis.
Venit autem aurora, et non vidit sponsum Hero,
Circumquaque oculos dirigebat in lata dorsa maris,
Sicubi videret errantem suum maritum
Lychno exstincto. Apud fundamentum vero turris
Dilaniatum scopulis ut vidit mortuum maritum,
Artificiosam disrumpens circa pectora vestem,
Cum strepitu præceps ab alta cecidit turri.
Atque Hero mortua est super mortuo marito,
Suique invicem potiti sunt etiam in ultima pernicie. »
— Fin dans la traduction latine de Johannes Schrader (XVIIIe siècle)
« Illa autem, eo adhuc morante, vigilibus oculis
Stabat fluctuans luctuosis curis.
Venit autem aurora, et non vidit sponsum Hero,
Ubique autem oculos dirigebat in lata dorsa maris,
Sicubi conspiceret errantem suum maritum
Lychno exstincto. Apud fundamentum vero turris
Dilaniatum scopulis ut vidit mortuum maritum,
Artificiosam disrumpens circa pectora tunicam,
Violenter præceps ab excelsa cecidit turri.
At Hero periit super mortuo marito,
Se invicem vero fructi sunt etiam in ultima pernicie. »
— Fin dans la traduction latine de Johannes Schrader, revue par Franz Siegfried Lehrs (XIXe siècle)
« Illa vero, cunctante adhuc Leandro, vigilibus oculis
Stabat fluctuans perluctuosis curis.
Venit autem manegenita7 Aurora, et non vidit sponsum Hero
Undequaque oculos circumvolvebat perspeculans in lata dorsa maris,
Sicubi inspiceret errabundum suum maritum,
Lychno exstincto. Apud basem vero turris
Dilaniatum scopulis ut spectavit exanimatum virum,
Affabre factam discindens circa pectora tunicam
Magno cum stridore præceps ab alta ruit turri.
Et sic Hero occubuit super indigne deperdito conjuge,
Suique invicem fruiti sunt etiam in extima pernicie.
Talia vero amore vesanos præmia manent juvenes. »
— Fin dans la traduction latine de Johannes Schrader, revue par Francesco Mazzarella Farao (XVIIIe siècle)
« Prospiciens vigili sed apertum lumine pontum
Stabat adhuc dubiis Hero tristissima curis,
At jubare exorto sponsum non aspicit usquam.
Ergo oculos celeres circumfert æquore toto,
Fluctibus oppressum tumidis si forte videret
Infida face deceptum, ad fundamina turris
Ut lacerum scopulis vidit miseranda maritum,
Diripuit variam moritura a pectore vestem.
Nec mora præcipitem turri se misit ab alta,
Exanimem super expirans illapsa maritum,
Ultima nec miseros necis hora diremit amantes. »
— Fin dans la traduction latine de David Whitford (XVIIe siècle)
« Dumque teneret adhuc iter hic, vigilantibus usque
Fluctuat illa oculis, plangentibus incita curis.
Jamque erat orta dies, neque sponsum respicit Hero,
Luminaque intendens in lati tergora ponti,
Quærit an errantem poterit spectare maritum,
Forte face exstincta : sed ubi in fundamine turris
A scopulis lacerum consortis corpus amici
Aspexit, pictam scindens a pectore vestem,
Præcipiti sonitu de turri proruit alta.
Sic Hero super interiit consorte perempto ;
Seque ipsis ambo supremo in fine fruuntur. »
— Fin dans la traduction latine de Florent Chrestien (XVIIe siècle)
« Illa moranti oculis semper vigilantibus instans,
Sollicitas anima volvebat saucia curas.
Jamque Aurora aderat : sponsum nec viderat Hero.
Ergo oculos per terga maris circumtulit ampla,
Errantem si qua spectaret forte maritum,
Extincta face : quem turri conspexit ut ima
Collidi exanimem, jactatum fluctibus atris,
Continuo pictam rumpens a pectore vestem,
Præcipitem sese turris de vertice jecit.
Sic Hero exanimi super est extincta marito :
Seque illi summa quoque sunt in morte potiti. »
— Fin dans la traduction latine d’Andreas Papius (XVIe siècle)
« Cum adhuc autem dirigeret iter vigilibus oculis,
Stabat fluctuans miseris curis.
Venit autem aurora, et non vidit sponsum Hero,
Circumquaque oculum dirigebat in lata dorsa maris,
Sicubi videret errantem suum maritum
Lucerna exstincta. Apud fundamentum turris
Dilaniatum scopulis ut vidit mortuum maritum,
Variam scindens circa pectora tunicam,
Cum strepitu præceps ab alta deturbata est turri.
Atque Hero mortua est ob mortuum maritum,
Suique potiti sunt et in ultima pernicie. »
— Fin dans la traduction latine de Markos Mousouros (XVe siècle)
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