« Les “Vers dorés” des pythagoriciens »

XVIIIᵉ siècle

XVIIIe siècle

Il s’agit des « “Vers d’or” des py­tha­go­ri­ciens » (« Ta “Chrysa epê” tôn Py­tha­go­reiôn »1), l’une des rares traces écrites du py­tha­go­risme. L’école de Py­tha­gore était réel­le­ment une sorte de cloître mo­nas­tique, où il ne fal­lait lais­ser en­trer que des âmes pures. La règle du se­cret qui la liait est cause qu’il y a di­verses in­cer­ti­tudes à son su­jet. Cette école com­men­çait par un rude no­vi­ciat. Tous ceux qui en­ta­maient les le­çons de Py­tha­gore pas­saient cinq ans sans avoir la per­mis­sion de par­ler, afin d’apprendre la vertu du si­lence : « On ap­prend aux hommes à par­ler ; on de­vrait leur ap­prendre à se taire. La pa­role dis­sipe la pen­sée, la mé­di­ta­tion l’accumule »2. Ils ne por­taient que des ha­bits de lin ; ils ne man­geaient pas de viande. De plus, ils met­taient leurs biens en com­mun et ne fai­saient qu’une même bourse. Après cette in­dis­pen­sable et longue épreuve, s’ils en étaient ju­gés dignes, ils re­ce­vaient de la bouche même du Maître les vé­ri­tés oc­cultes. Les pres­crip­tions mo­rales te­naient une grande place dans ce ca­té­chisme py­tha­go­ri­cien qui consi­dé­rait la vie comme un ef­fort pour ar­ri­ver par de­grés à la vertu et pour se rendre, par là même, sem­blable à Dieu. L’essentiel de ces pres­crip­tions nous a été conservé dans une sorte de pe­tit bré­viaire ou d’extrait de bré­viaire, in­ti­tulé les « Vers d’or », ainsi que dans le sa­vant com­men­taire que nous en a laissé Hié­ro­clès. L’époque tar­dive de ces deux livres (IIe-Ve siècle apr. J.-C.) ne doit pas nous por­ter à dé­pré­cier leur va­leur. Ils sont tout ce qui nous reste d’authentique tou­chant l’un des plus grands hommes de l’Antiquité. Hié­ro­clès as­sure « qu’ils sont la doc­trine du corps en­tier des py­tha­go­ri­ciens et comme [le cri] de toutes leurs as­sem­blées »3. Il ajoute qu’il exis­tait un usage qui or­don­nait à tous les dis­ciples le ma­tin, en se le­vant, et le soir, en se cou­chant, de se faire ré­ci­ter ces « Vers » comme au­tant d’oracles in­faillibles que le Maître « Lui-même a dits » (« Au­tos epha »4). Ceux qui les trans­met­taient ainsi et ceux qui, plus tard, les ont fixés par l’écriture ont dû chan­ger peu de chose au contenu ori­gi­nal. « Le res­pect pieux, la vé­né­ra­tion sainte pour la pa­role du Maître, ont dû pro­té­ger — si­non contre toute al­té­ra­tion, du moins contre toute al­té­ra­tion pro­fonde — ce dé­pôt sa­cré de vé­ri­tés qu’ils consi­dé­raient comme éma­nées de la bouche d’un dieu (“pan­toias theou phô­nas”5) », ex­plique An­telme-Édouard Chai­gnet. Vé­ri­tables com­man­de­ments d’une phi­lo­so­phie sa­crée, qui fai­sait de la science une mys­tique, et de la mys­tique une science, et qui était, tout en­tière, do­mi­née, gui­dée et cou­ron­née par l’idée de Dieu, les « Vers d’or » peuvent se ré­su­mer dans cette grande maxime : « La vie par­faite n’est et ne peut être qu’une imi­ta­tion du par­fait, c’est-à-dire de Dieu ».

Il n’existe pas moins de qua­torze tra­duc­tions fran­çaises des « Vers d’or », mais s’il fal­lait n’en choi­sir qu’une seule, je choi­si­rais celle de Jean-Jacques Le Franc, mar­quis de Pom­pi­gnan.

« Ὅσσα τε δαιμονίαισι τύχαις βροτοὶ ἄλγε’ ἔχουσιν,
Ὧν ἂν μοῖραν ἔχῃς, πράως φέρε μηδ’ ἀγανάκτει.
Ἰᾶσθαι δὲ πρέπει, καθ’ ὅσον δύνῃ. Ὧδε δὲ φράζευ·
Οὐ πάνυ τοῖς ἀγαθοῖς τούτων πολὺ μοῖρα δίδωσιν.
 »
— Pas­sage dans la langue ori­gi­nale

« Ac­cepte sans mur­mure, et souffre avec cou­rage
La por­tion de maux qui t’échoit en par­tage.
Cherche à les adou­cir, et crois que le des­tin
Ne livre point le juste à des mal­heurs sans fin. »
— Pas­sage dans la tra­duc­tion du mar­quis de Pom­pi­gnan

« À l’égard de tous les maux qu’ont à su­bir les hommes de par le fait des ar­rêts au­gustes du Des­tin,
Ac­cepte-les comme le sort que tu as mé­rité ; sup­porte-les avec dou­ceur et ne t’en fâche point.
Il te convient d’y re­mé­dier, dans la me­sure que tu peux. Mais pense bien à ceci :
Que la Des­ti­née épargne aux gens de bien la plu­part de ces maux. »
— Pas­sage dans la tra­duc­tion de Ma­rio Meu­nier (éd. de la Mais­nie, Pa­ris)

« La main de l’Arbitre su­prême ré­pand les ca­la­mi­tés sur ce monde in­fé­rieur : sup­por­tez avec dou­ceur et sans mur­mure la part qu’il lui plaît de vous en dis­tri­buer ; c’est à vous de l’alléger au­tant que vous pour­rez ; il faut bien vous dire à vous-même : la for­tune tem­père tou­jours l’excès mor­dant du mal­heur pour l’homme ver­tueux. »
— Pas­sage dans la tra­duc­tion de Jean-Ma­rie-Louis Coupé (dans « Les Soi­rées lit­té­raires, ou Mé­langes de tra­duc­tions nou­velles des plus beaux mor­ceaux de l’Antiquité. Tome IV », XVIIIe siècle)

« Et toutes les souf­frances que, par les di­vines for­tunes, les mor­tels éprouvent,
La part que tu en dé­tiens, sup­porte-la avec dou­ceur, et ne t’en in­digne pas.
Il convient d’y re­mé­dier au­tant que tu le peux, mais ob­serve ceci :
Ce n’est guère aux hommes de bien que la des­ti­née en­voie beau­coup de ces maux. »
— Pas­sage dans la tra­duc­tion de MM. Noël Au­jou­lat et Adrien Le­cerf (éd. Les Belles Lettres, coll. La Roue à livres, Pa­ris)

« Quant au sort qui t’est échu par les lois di­vines, si rude soit-il, ne t’en ré­volte pas, mais sup­porte-le avec sé­ré­nité, en t’efforçant de l’améliorer de ton mieux. Les dieux, en ef­fet, pré­servent les sages des maux les plus grands. »
— Pas­sage dans la tra­duc­tion du doc­teur Paul Car­ton (éd. N. Ma­loine, Pa­ris)

« Parmi les maux que sup­portent les mor­tels, de par les di­vines Des­ti­nées, sup­porte sans t’indigner la part qui t’est échue ; mais ef­force-toi d’y re­mé­dier dans la me­sure de tes forces ; car dis-toi bien que les maux qui ac­cablent l’honnête homme ne sont pas si nom­breux. »
— Pas­sage dans la tra­duc­tion de M. Jean Voil­quin (dans « Les Pen­seurs grecs avant So­crate : de Tha­lès de Mi­let à Pro­di­cos », éd. Flam­ma­rion, coll. GF, Pa­ris)

« Et tout ce que, de par les di­vines des­ti­nées, les mor­tels re­çoivent de dou­leurs,
Si tu en as ta part fa­tale, sup­porte-la et ne t’en in­digne ;
Mais c’est la gué­ri­son qui convient, au­tant que tu le peux ; et ré­flé­chis de cette ma­nière :
C’est qu’aux gens de bien pas beau­coup de ces choses-là ne donne la des­ti­née. »
— Pas­sage dans la tra­duc­tion de M. Léo­nard Saint-Mi­chel (éd. Adyar, Pa­ris)

« Aussi nom­breuses et quelles que soient les vi­cis­si­tudes du sort vou­lues par les dieux et qu’ont à sup­por­ter les mor­tels, si le des­tin t’en ap­porte ta part, ac­cepte-les sans t’irriter. Il te convient d’y ap­por­ter des re­mèdes, au­tant que puisse se faire. Et mé­dite bien ceci : il n’advient guère d’épreuves aux hommes de bonne vo­lonté par le fait de la Moïra6. »
— Pas­sage dans la tra­duc­tion de Mme Si­monne Jac­que­mard (dans « Py­tha­gore et l’Harmonie des sphères », éd. du Seuil, Pa­ris)

« De toutes ces souf­frances qu’éprouvent les hommes, de par les di­vines des­ti­nées, ac­cepte la part qui t’est échue ; ne t’en ir­rite pas. Il t’appartient d’y re­mé­dier, dans la me­sure où tu le peux ; mais songe à ceci : la Moïra n’envoie pas beau­coup de ces maux aux hommes de bien. »
— Pas­sage dans la tra­duc­tion d’Élie Ber­gou­gnan (éd. Gar­nier frères, coll. Clas­siques Gar­nier, Pa­ris)

« Éprouves-tu quelques-uns de ces re­vers que les des­tins font éprou­ver aux mor­tels ? Sache les sup­por­ter avec pa­tience ; ne t’indigne pas contre le sort. Il est per­mis de cher­cher à ré­pa­rer nos mal­heurs ; mais sois bien per­suadé que la for­tune n’envoie pas aux mor­tels ver­tueux des maux au-des­sus de leurs forces. »
— Pas­sage dans la tra­duc­tion de Pierre-Charles Le­vesque (XVIIIe siècle)

« Et [quel que soit le] mé­chef que du sort de là-sus7 les hu­mains ont,
En bonne part prends, et porte la part que [tu] en au­ras, ne te fâ­chant :
Mais au­tant que tu peux, donnes-y re­mède ; ainsi ré­sous-toi :
Aux va­leu­reux, de ceci, le com­mun sort n’en donne beau­coup. »
— Pas­sage dans la tra­duc­tion de Jean-An­toine de Baïf (XVIe siècle)

« Pour toutes les dou­leurs que les hommes souffrent par la di­vine for­tune,
Sup­porte dou­ce­ment ton sort tel qu’il est, et ne t’en fâche point :
Mais tâche d’y re­mé­dier au­tant qu’il te sera pos­sible ;
Et pense que la des­ti­née n’envoie pas la plus grande por­tion de ces mal­heurs aux gens de bien. »
— Pas­sage dans la tra­duc­tion d’André Da­cier (XVIIIe siècle)

« Et quant aux maux qu’entraîne avec soi le Des­tin,
Juge-les ce qu’ils sont ; sup­porte-les ; et tâche,
Au­tant que tu pour­ras, d’en adou­cir les traits :
Les dieux, aux plus cruels, n’ont pas li­vré les sages »
— Pas­sage dans la tra­duc­tion d’Antoine Fabre d’Olivet (XIXe siècle)

« Quand pour tous les hu­mains souf­frir est une loi,
Prends la part qui t’attend, souffre et ré­signe-toi ;
Mais pour gué­rir tes maux, joins l’espoir au cou­rage,
Le ciel a ré­servé du bon­heur pour le sage. »
— Pas­sage dans la tra­duc­tion d’Auguste-Étienne-Xavier Pois­son de La Cha­beaus­sière (XVIIIe siècle)

« Qui­bus porro in­for­tu­niis di­vi­ni­tus an­gun­tur ho­mines,
Ho­rum par­tem fa­ta­lem quam­cunque sor­ti­tus es, le­ni­ter fer et sine in­di­gna­tione ;
Sed re­me­dium adhi­bere de­cet, quan­tum potes : sic au­tem te­cum re­puta,
Haud ad­mo­dum multa bo­nis ta­lia fa­tum in­ve­here. »
— Pas­sage dans la tra­duc­tion la­tine de Fré­dé­ric-Guillaume-Au­guste Mul­lach (XIXe siècle)

« Qui­bus­cunque porro in­for­tu­niis di­vi­ni­tus an­gun­tur ho­mines,
Sor­tem tuam pa­tien­ter et sine in­di­gna­tione fe­ras ;
Re­me­dium vero de­cet af­ferre, quan­tum pos­sis : et te­cum re­putes,
Fa­tum non im­mit­tere bo­nis plu­rima in­for­tu­nia. »
— Pas­sage dans la tra­duc­tion la­tine de Pe­ter Need­ham (XVIIIe siècle)

« Mor­tales quæ­cunque Deis mit­ten­ti­bus an­gunt,
Ut tua sors tu­le­rit, pa­tiens ne ferre re­cuses.
Nec sper­nenda me­dela ta­men. Sed no­ris et is­tud,
Par­cius ista vi­ris im­mit­tere nu­mina jus­tis. »
— Pas­sage dans la tra­duc­tion la­tine de Jean Cour­tier, dit Cur­te­rius (XVIe siècle)

« Mul­tas ho­mines ex cæ­lesti for­tuna pa­tiun­tur ca­la­mi­tates.
Quod­cunque igi­tur fa­tum habes hoc æquo animo, et non ægre fe­ras.
Cor­ri­gere enim et rein­te­grare, quan­tum potes, opor­tet.
Non ma­gnam par­tem ca­la­mi­ta­tum bo­nis Deus tri­buit. »
— Pas­sage dans la tra­duc­tion la­tine de Gio­vanni Au­rispa (XVe siècle)

« Quasque di­vina sorte ho­mines ca­la­mi­tates habent,
Ea­rum quam­cunque por­tio­nem habes, le­ni­ter fer, nec in­di­gnare ;
Me­deri ta­men (illis) de­cet, quan­tum potes. Sic vero co­gita :
Non ad­mo­dum mul­tum bo­nis (vi­ris) Parca de illis tri­buit. »
— Pas­sage dans la tra­duc­tion la­tine de Frie­drich Syl­burg (XVIe siècle)

« Ac quas­cunque di­vina sorte ho­mines ca­la­mi­tates habent,
Ea­rum si par­tem habes, mo­de­rate ferto, nec in­di­gnans freme ;
Me­deri au­tem eis te de­cet, quan­tum potes. Sic vero co­gita :
Non ad­mo­dum mul­tum is­to­rum bo­nis fa­tum im­po­nit. »
— Pas­sage dans la tra­duc­tion la­tine de Hein­rich Brem (XVIe siècle)

« Quas di­vina sorte ho­mines ca­la­mi­tates habent,
Ea­rum quam par­tem habes, bono animo ferto, nec in­di­gne­ris.
Me­deri au­tem (illis) de­cet, quan­tum potes. Sic vero co­gita :
Haud mul­tum bo­nis vi­ris dare for­tu­nam. »
— Pas­sage dans la tra­duc­tion la­tine d’Élie Vi­net (XVIe siècle)

« Quas di­vina sorte ho­mines ca­la­mi­tates habent,
Ea­rum si­quam par­tem ha­beas, pla­cide ferto, nec in­di­gne­ris.
Me­deri au­tem (illis) de­cet, quan­tum potes. Sic vero co­gita :
Non valde mul­tum ha­rum bo­nis (vi­ris) dat for­tuna. »
— Pas­sage dans la tra­duc­tion la­tine d’Élie Vi­net, re­vue par Jean Cres­pin (XVIIe siècle)

« Quæ vero ho­mines di­vina sorte mala sor­tiun­tur,
Ho­rum si par­tem ha­bue­ris, pa­tien­ter ferto, neque in­di­gne­ris.
Sa­nare vel (ea) de­cet, quan­tum potes. Sic vero co­gi­tato :
Non valde mul­tum Sors de is­tis dat bo­nis. »
— Pas­sage dans la tra­duc­tion la­tine de Jo­hann Ger­lach Wil­helmi (XVIIe siècle)

« Cum tibi quid de­de­rint su­peri di­vi­ni­tus, ho­rum
Quæ ge­neri hu­mano gaudent in­ferre, ma­lo­rum,
Fer pla­cide, pec­tusque tuum ne scinde do­lore :
Sed quan­tam po­te­ris tibi tu conferto me­de­lam,
Et re­puta non multa bo­nis bona sor­tis adesse. »
— Pas­sage dans la tra­duc­tion la­tine de Claude de Mon­sel (XVIe siècle)

« Ma­lo­rum vero, quæ di­vina sorte ho­mi­ni­bus im­mit­tun­tur, quan­ta­cunque por­tio tibi conti­ge­rit, fer le­ni­rer et sine de­trec­ta­tione, re­me­diis ta­men om­ni­bus adhi­bi­tis. Te­cum sci­li­cet sic re­puta : bo­nos a Diis ni­mia ma­lo­rum co­pia ne­qua­quam op­primi. »
— Pas­sage dans la tra­duc­tion la­tine d’Eberhard Got­tlob Glan­dorf (XVIIIe siècle)

« Quid­quid et hu­ma­nis po­te­rit contin­gere re­bus,
Le­ni­ter, hoc tibi si de­de­rit sors, ferre me­mento.
Quodque ta­men po­te­ris, sana. Sic deinde pu­tato,
Quod non multa bo­nis tri­buat sors ta­lia mul­tis. »
— Pas­sage dans la tra­duc­tion la­tine de Veit Amer­bach, dit Vi­tus Amer­pa­chius (XVIe siècle)

« Eo­rum, quæ for­tui­tis ca­si­bus ad­versa contin­gunt ho­mi­ni­bus, quam­cunque sor­tem ha­bue­ris, sine per­tur­ba­tione fe­ras. Me­deri opor­tet quoad pos­sis. Scito non multa ex iis for­tu­nam ho­mi­ni­bus bo­nis af­ferre. »
— Pas­sage dans la tra­duc­tion la­tine de Mar­sile Fi­cin (XVe siècle)

« Sors di­vina mo­vet vitæ si quando la­bo­rem,
Tuque su­bis par­tem, non in­di­gnare fe­rendo.
Sed sa­nare pares quan­tum potes, et me­mor esto :
Nulla bo­nis ni­mium præbent quod fata ma­lo­rum. »
— Pas­sage dans la tra­duc­tion la­tine de Hie­ro­ny­mus Osius (XVIe siècle)

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Consultez cette bibliographie succincte en langue française

  1. En grec « Τὰ “Χρυσᾶ ἔπη” τῶν Πυθαγορείων ». Haut
  2. Vol­ney, « Le­çons d’histoire ». Haut
  3. « Épi­logue ». Haut
  4. En grec « Αὐτὸς ἔφα ». Haut
  1. Ré­fé­rence à Dio­gène Laërce, « Vies et Doc­trines des phi­lo­sophes illustres » : « Py­tha­gore était tel­le­ment ad­miré qu’on ap­pe­lait ses dis­ciples “mul­tiples voix du dieu” (παντοίας θεοῦ φωνάς) ». Haut
  2. La Moïra (Μοῖρα) est la Des­ti­née per­son­ni­fiée, qui dis­pense à cha­cun son lot ou sa part échue. Haut
  3. « De là-sus » si­gni­fie « de là-haut, du ciel ». Haut