Il s’agit du « Chant guerrier » (« Âisma » 1) de Callinos d’Éphèse 2. Sauf Homère et peut-être Hésiode, Callinos est le plus ancien poète grec connu (VIIe siècle av. J.-C.). Dans le temps où il vivait, les Cimmériens, barbares venus d’Europe, avaient envahi l’Asie Mineure et attaquaient les cités ioniennes, qui étaient elles-mêmes en proie à des dissensions récentes, si bien que la guerre était partout. Au milieu de tels bouleversements, il était impossible à un poète de ne pas chanter la guerre, qu’il voyait menaçante aux portes de sa cité. Ses compatriotes, tout amollis par la tranquille jouissance de la paix habituelle, songeaient peu à se défendre. Callinos essaya de les sortir de cette espèce de léthargie dans laquelle ils étaient ensevelis : « Quand donc marcherez-vous ? Qui vous retient, soldats ? Devant vos compagnons, ne rougissez-vous pas ? Sans doute, lorsqu’au loin Mars étend sa furie, vous croyez être en paix. L’ennemi vous attend !… » 3 Son « Chant guerrier », conservé par Strabon, est un énergique appel aux armes, une véhémente Marseillaise, qui annonce la manière de Tyrtée, à qui certains ont voulu l’attribuer. On peut en admirer, si on lit le grec, « le mouvement cadencé et un peu lourd des distiques, les solides attaches des phrases, et surtout les sons mâles et un peu durs de la langue de Callinos » 4. Callinos est aussi le premier qui, selon le témoignage de Strabon, mit en vogue la légende d’Apollon Sminthien, c’est-à-dire Apollon « dieu des rats ». Cette œuvre mythologique est perdue. Mais le chapitre sur les souris dans « La Personnalité des animaux » d’Élien permet d’en reconstituer le sujet : Des Crétois, qui à cause d’un désastre voulaient quitter leur pays pour aller s’établir ailleurs, demandèrent à Apollon de leur désigner un bon endroit. L’oracle leur ordonna de s’établir à l’endroit où des « êtres nés de la terre » (« gêgeneis » 5) viendraient leur faire la guerre. S’étant embarqués, ils parvinrent aux environs de la future Hamaxitos et y trouvèrent un abri convenable pour se reposer. Mais pendant leur sommeil, des rats sortirent de terre de tous côtés et vinrent ronger les courroies de leurs boucliers et les cordes de leurs arcs. À leur réveil, s’étant souvenus de l’oracle, les Crétois crurent en avoir compris le sens ; et comme, par ailleurs, toutes leurs armes étaient hors d’état de servir, ils s’établirent en ce lieu et consacrèrent une fameuse statue à Apollon, qui le représentait debout, le pied posé sur un rat. 6
Il n’existe pas moins de quatorze traductions françaises du « Chant guerrier », mais s’il fallait n’en choisir qu’une seule, je choisirais celle de Firmin Didot.
« Πολλάκι δηϊοτῆτα φυγὼν καὶ δοῦπον ἀκόντων
Ἔρχεται, ἐν δ’ οἴκῳ μοῖρα κίχεν θανάτου.
Ἀλλ’ ὁ μὲν οὐκ ἔμπας δήμῳ φίλος οὐδὲ ποθεινός·
Τὸν δ’ ὀλίγος στενάχει καὶ μέγας, ἤν τι πάθῃ·
Λαῷ γὰρ σύμπαντι πόθος κρατερόφρονος ἀνδρὸς
Θνήσκοντος· ζώων δ’, ἄξιος ἡμιθέων.
Ὥσπερ γάρ μιν πύργον ἐν ὀφθαλμοῖσιν ὁρῶσιν·
Ἔρδει γὰρ πολλῶν ἄξια μοῦνος ἐών. »
— Chant dans la langue originale
« Souvent, tel qui fuyait les travaux de Bellone 7,
Rentrant dans ses foyers, y rencontra la mort.
Mais, mourant comme un lâche, aucun ne le regrette ;
Tandis que des destins d’un guerrier généreux
Un peuple tout entier nuit et jour s’inquiète ;
S’il expire, des pleurs coulent de tous les yeux ;
S’il vit, voyant partout croître sa renommée,
Rempart de son pays, mortel égal aux dieux,
On le contemple seul, il vaut seul une armée. »
— Chant dans la traduction de Didot
« Bien souvent, réchappé du ravage du combat et des traits fracassants,
Qui s’en revient, c’est chez lui que le sort de la mort vient s’abattre,
Mais c’est sans être, pour autant, ni du peuple chéri, ni de lui regretté,
Alors qu’à qui arrive malheur, le petit et le grand vont sur lui gémissant,
Car, pour le peuple tout entier, c’est regret quand un homme cœur-de-force
S’en va mourant, et c’est, vivant, d’un demi-dieu l’équivalent !
Car, aux yeux qui le voient, c’est comme une tour de garde qu’il apparaît !
Car, tout en tenant seul, c’est de beaucoup qu’il accomplit l’équivalent ! »
— Chant dans la traduction de Mme Magali Année (éd. Classiques Garnier, coll. Kaïnon-Anthropologie de la pensée ancienne, Paris)
« Tel fuyait au seul bruit des flèches résonnantes,
Qui rencontra la mort aux foyers paternels.
Mais celui-là, des siens, dans la nuit de la tombe,
L’amour et les regrets ne l’accompagnent pas.
De l’autre, peuple, grands, tous pleurent le trépas :
La patrie est en deuil quand le brave succombe.
Vivant, il est l’égal des demi-dieux ;
Il apparaît à tous les yeux
Comme la tour qui couvre une ville alarmée,
Et seul, par ses hauts faits, il vaut toute une armée. »
— Chant dans la traduction d’Auguste Alexis Floréal Baron (XIXe siècle)
« Hélas ! celui souvent qui par la plaine échappe
À l’ennemi victorieux,
Expire à son foyer, sous la main qui le frappe,
Percé de coups inglorieux.
Il n’en va pas ainsi du combattant qui tombe
Dans la mêlée, au premier rang.
Le peuple tout entier, grands, petits, vers sa tombe
S’empresse et s’assemble en pleurant.
Égal aux demi-dieux, vivant, on le vénère ;
Mort, sur les peuples d’alentour,
De loin, aux yeux de tous, sa gloire centenaire
Apparaît ainsi qu’une tour. »
— Chant dans la traduction d’Auguste Profillet (XIXe siècle)
« Souvent, tel qui part pour éviter le combat et le bruit des traits est frappé dans sa maison par une mort fatale. Celui-là n’excite parmi le peuple aucune affection, aucun regret. Mais l’autre, petits et grands le pleurent, s’il vient à périr. Car la nation tout entière déplore la mort d’un vaillant guerrier, et s’il vit, on l’estime autant que les demi-dieux. Il est comme un rempart aux yeux de ses concitoyens ; à lui seul, il est aussi utile que beaucoup d’autres ensemble. »
— Chant dans la traduction de Louis Humbert (dans « Poètes moralistes de la Grèce », XIXe siècle)
« Et la mort vient surprendre dans le sein de leur famille ceux qu’une fuite honteuse avait dérobés aux périls du combat : ils meurent haïs et détestés. Au lieu que l’homme courageux laisse après lui d’éternels regrets ; tous le pleurent après sa mort, et pendant sa vie, il est honoré comme un demi-dieu, parce que tous le regardent comme leur appui et comme leur défenseur. »
— Chant dans la traduction de l’abbé Jean-Baptiste Souchay (« Premier Discours sur les poètes élégiaques • Second Discours sur les poètes élégiaques » dans « Mémoires de littérature, tirés des registres de l’Académie royale des inscriptions et belles-lettres. Tome X », XVIIIe siècle, p. 560-632)
« Souvent, celui qui a fui la bataille et le tumulte des lances trouve la mort en rentrant dans sa maison, et personne dans le peuple ne l’aime et ne le regrette. L’autre, petits et grands gémissent s’il lui arrive malheur. Tout le monde regrette l’homme au cœur brave, quand il meurt ; vivant, on l’honore comme les demi-dieux. Tous les regards se tournent vers lui comme vers une forteresse, car il fait à lui seul l’œuvre de plusieurs. »
— Chant dans la traduction de Louis Ménard (dans « Histoire des Grecs. Tome I », p. 332)
« Souvent, celui qui s’en va pour éviter le combat et le retentissement des traits, la mort le frappe dans sa maison ; mais il n’y a dans le peuple nulle affection pour lui : il n’y laisse nuls regrets. L’autre, au contraire, petits et grands le pleurent, s’il lui arrive mal. Oui, la mort d’un guerrier à l’âme vigoureuse excite les regrets de la nation tout entière. Vivant, on l’estime à l’égal des demi-dieux. Aux yeux de ses concitoyens, il est comme un rempart ; car il suffit seul à l’œuvre de vingt autres. »
— Chant dans la traduction d’Alexis Pierron (dans « Histoire de la littérature grecque », XIXe siècle)
« Souvent, celui qui, à travers la bataille et le bruit des traits, a passé sain et sauf, la mort le surprend à son foyer. Celui-là n’est pas cher au peuple ; il n’en est pas regretté. Mais cet autre, petits et grands le pleurent s’il succombe. L’homme de courage met en deuil le peuple par sa mort ; et vivant, il est l’égal des demi-dieux. On le contemple des yeux comme un rempart, car seul il vaut un grand nombre. »
— Chant dans la traduction d’Abel-François Villemain (dans son étude sur Pindare)
« Souvent celui qui fuit la bataille et la lance
S’est heurté à la mort en revenant chez lui.
Et du peuple a perdu et l’estime et l’appui ;
Mais lorsque le héros a connu la souffrance,
De la foule aux plus grands, chacun pleure sur lui ;
Pour la patrie sa mort est le plus rude coup,
Sa vie a des honneurs dignes d’un demi-dieu.
Il est comme une tour dressée devant les yeux,
Car il a fait tout seul le labeur de beaucoup. »
— Chant dans la traduction de M. Robert Brasillach (dans « Anthologie de la poésie grecque », éd. Stock, Paris)
« Souvent, il se soustrait par la fuite au combat et au bruit des traits, et la Parque de la mort l’atteint dans sa maison ; mais celui-là n’obtient ni l’affection ni les regrets de ses concitoyens, tandis que le brave, s’il succombe, est pleuré des petits et des grands. Oui, l’homme au cœur vaillant est regretté du peuple entier, quand il meurt, et durant sa vie, on l’égale aux demi-dieux. En le voyant, on croit avoir un rempart sous les yeux ; car, à lui seul, il fait l’œuvre de cent autres. »
— Chant dans la traduction d’Émile Pessonneaux (dans « Les Grands Poètes de la Grèce : extraits et notices », XIXe siècle)
« Souvent, celui qui revient, après avoir fui la bataille et le choc des javelots, rencontre chez lui le lot de la mort. Mais celui-là n’est pas aimé du peuple ni regretté ; l’autre, au contraire, tous, petits et grands, le pleurent, s’il lui arrive malheur. Pour le peuple entier, la mort du brave est un deuil, et s’il vit, il est honoré comme un demi-dieu. Il est comme une tour, aux yeux de ses concitoyens ; car, à lui seul, il fait l’œuvre d’un grand nombre. »
— Chant dans la traduction d’Élie Bergougnan (dans « Poètes élégiaques et moralistes de la Grèce. Archiloque • Callinos • Sémonide • Tyrtée », éd. Garnier frères, coll. Classiques Garnier, Paris)
« Souvent, un guerrier magnanime sort, plein de vie, d’une bataille sanglante et de la grêle retentissante de mille traits dirigés contre lui. Et ce grand homme, à peine arrivé dans sa maison, y trouve la mort funeste ; mais il n’excite pas l’amour et les respects du peuple, il n’a pas avancé sa dernière heure pour nous sauver. Au contraire, celui qui est tombé pour nous, et dont nous voyons les blessures généreuses, est pleuré des grands et des petits : c’était un héros pendant sa vie, c’est un demi-dieu après sa mort ; sa tombe devient sacrée, autant que glorieuse. On le regarde toujours comme l’ancien rempart, comme la tour la plus imposante de sa patrie ; car lui seul égalait les exploits d’une armée entière. »
— Chant dans la traduction de Jean-Marie-Louis Coupé (dans « Les Soirées littéraires, ou Mélanges de traductions nouvelles des plus beaux morceaux de l’Antiquité. Tome IV », XVIIIe siècle)
« Le lâche dans la fuite espère un vain secours ;
Esclave des terreurs que le brave surmonte,
Un vil trépas l’attend dans le lit de la honte.
Mais celui qui, rempli d’une héroïque ardeur,
Combat pour la patrie et retourne vainqueur,
Effroi de ses rivaux, il voit à son courage
Les peuples empressés rendre un sincère hommage ;
Et rival des dieux mêmes, admis à leurs autels,
Il emporte avec lui les regrets des mortels. »
— Chant dans la traduction de Louis Poinsinet de Sivry (dans « Anacréon, Sapho, Moschus, Bion et Autres Poètes grecs », XVIIIe siècle)
« Sæpe aliquem elapsum circumstridentia tela
In lare privato mors inopina rapit ;
Mors vilis populo est, nullum et meritura favorem,
Fortem plebs celebrat, grataque nobilitas.
Sive cadens populi gemitus expressit amantis,
Seu vivens auget semideum numeros ;
Vertitque in se oculos, ceu celso vertice turris,
Quippe unus multos laudibus exsuperans. »
— Chant dans la traduction latine d’Hugo de Groot, dit Grotius (XVIe siècle)
« Sæpe qui hostilitatem fugiens et sonitum telorum
Evadit ; in domo (illum) sors invadit mortis.
At hic sane non omnimodo populo amicus, neque desideratus :
Illum vero parvus deflet, et magnus, si quid passus fuerit.
Populo autem universo desiderium viri fortis
Morientis : vivens vero par semideis ;
Sicut enim eum turrem oculis intuentur,
Facit enim multis digna solus existens. »
— Chant dans la traduction latine de Firmin Didot (XIXe siècle)
« Sæpe hostilem impetum fugiens et sonitum telorum
Evadit ; in domo vero (illum) fatum apprehendit mortis.
Sed hic sane non omnimodo populo carus, neque desideratus est ;
Illum vero parvus deflet, et magnus, si quid passus fuerit.
Populo enim universo desiderium est magnanimi viri
Morientis : vivus vero par semideis ;
Sicut enim turrim ipsum oculis intuentur,
Facit enim multis digna, quum solus sit. »
— Chant dans la traduction latine d’Auguste Alexis Floréal Baron (XIXe siècle)
« Sæpe quis elapsus e pugna sonituque telorum
Evadit, sed ipsum domi fatalis mors apprehendit.
Atque hic sane nec amicus est populo, nec gratus :
Illum vero magnus et parvus defient si quid passus fuerit.
Universus enim populus virum fortem desiderat
Defunctum, viventem vero instar semidei colit.
Nam coram intuentur illum velut turrim :
Quippe solus multorum æquat facinora. »
— Chant dans la traduction latine d’Élie Vinet (XVIe siècle)
« Sæpe quis a bello, telisque reversus et hoste,
Repperit in propriis ædibus exitium :
Nec tamen hic gratus populo est, nec amabilis ulli :
Illum autem deflet cum juniore senex.
Quippe sui desiderium post fata relinquit
Fortis, at in vita est semideo similis :
Conspicitur siquidem veluti fortissima turris :
Nam quæ multi agerent, omnia solus agit. »
— Chant dans la traduction latine de Claude de Monsel (XVIe siècle)
« Forte minas belli, et stridentia tela per auras
Qui fugit, hunc prensum mors necat atra domi.
Sed nec amore pari urbs, nec desiderio excipit illum,
Laudem ceu populi totius alter habet.
Urbs desiderio quo tota jacente laborat.
Hunc et semideis annumerare solet.
Ceu turrim ante oculos altam quem pene tuentur,
Nam, multi poterant quæ minus, unus obit. »
— Chant dans la traduction latine de Hieronymus Osius (XVIe siècle)
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- Traduction d’Auguste Alexis Floréal Baron (éd. électronique) [Source : Remacle.org]
- Traduction de Louis Humbert (1892) [Source : Bibliothèque nationale de France]
- Traduction de Louis Humbert (éd. électronique) [Source : Wikisource]
- Traduction de Louis Humbert (éd. électronique bis) [Source : Remacle.org]
- Édition et traduction d’Auguste Profillet (1879) [Source : Google Livres]
- Traduction de l’abbé Jean-Baptiste Souchay (1777) [Source : Google Livres]
- Traduction de l’abbé Jean-Baptiste Souchay (1736) [Source : Google Livres]
- Traduction de l’abbé Jean-Baptiste Souchay (1733) [Source : Bibliothèque nationale de France]…
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- Alfred Croiset, « Callinos » dans « Histoire de la littérature grecque. Tome II. Lyrisme • Premiers Prosateurs • Hérodote » (XIXe siècle), p. 99-102 [Source : Google Livres]
- Georges Le Bidois, « Études d’analyse critique appliquée aux poètes grecs. Le Lyrisme » dans « L’Enseignement chrétien », vol. 10, nº 19, p. 306-310 [Source : Google Livres]
- Charles Lenormant et Jean De Witte, « Apollon et Diane » dans « Élite des monuments céramographiques : matériaux pour l’histoire des religions et des mœurs de l’Antiquité » (XIXe siècle), p. 3-366 [Source : Google Livres].
- En grec « ᾎσμα ».
- En grec Καλλῖνος. Autrefois transcrit Kallinos ou Callinus.
- p. 47.
- Georges Le Bidois, « Études d’analyse critique appliquée aux poètes grecs. Le Lyrisme », p. 307.
- En grec γηγενεῖς.
- Cette statue, comme d’autres, sera plus tard descendue et traînée par des cordes à Constantinople, non tant pour orner les places de la nouvelle capitale chrétienne, que pour dépouiller de leurs ornements les anciens dieux païens.
- Épouse ou sœur de Mars, Bellone était à Rome la déesse de la guerre, tout comme Mars en était le dieu.