Il s’agit de l’« Enquête » (« Historiê » 1) d’Hérodote d’Halicarnasse 2, le premier des historiens grecs dont on possède les ouvrages. Car bien qu’on sache qu’Hécatée de Milet, Charon de Lampsaque, etc. avaient écrit des historiographies avant lui, la sienne néanmoins est la plus ancienne qui restait au temps de Cicéron, lequel a reconnu Hérodote pour le « père de l’histoire » 3, tout comme il l’a nommé ailleurs, à cause de sa préséance, le « prince » 4 des historiens.
Le sujet direct d’Hérodote est, comme il le dit dans sa préface, « les grands exploits accomplis soit par les Grecs, soit par les [Perses], et la raison du conflit qui mit ces deux peuples aux prises » ; mais des chapitres entiers sont consacrés aux diverses nations qui, de près ou de loin, avaient été en contact avec ces deux peuples : les Lydiens, les Mèdes, les Babyloniens soumis par Cyrus ; puis les Égyptiens conquis par Cambyse ; puis les Scythes attaqués par Darius ; puis les Indiens. Leurs histoires accessoires, leurs récits latéraux viennent se fondre dans le foisonnement de la narration principale, comme des cours d’eau qui viendraient grossir un torrent. Et ainsi, l’« Enquête » s’élargit, de proche en proche, et nous ouvre, pour la première fois, les annales de l’ensemble du monde habité, en cherchant à nous donner des leçons indirectes, quoique sensibles, sur notre condition humaine. C’est dans ces leçons ; c’est dans l’habile progression des épisodes destinée à tenir notre attention constamment en éveil ; c’est dans la moralité qui se fait sentir de toute part — et ce que j’entends par « moralité », ce n’est pas seulement ce qui concerne la morale, mais ce qui est capable de consacrer la mémoire des morts et d’exciter l’émulation des vivants — c’est là, dis-je, qu’on voit la grandeur d’Hérodote, marchant sur les traces d’Homère :
« Cet historien », dit Guilhem de Clermont-Lodève, baron de Sainte-Croix, « est le premier des narrateurs et ne l’est devenu qu’en imitant Homère, par lequel il faut toujours commencer lorsqu’on parle de génie et de talent, en tous les genres de littérature, la poésie en étant la base. Quel écrivain a su mieux que ce poète animer ses récits et mettre en scène ses héros ! C’est en cela que consiste… le grand art d’écrire l’histoire, et Hérodote le possède supérieurement. Soit qu’il raconte la chute de Crésus et son entretien avec Solon, l’avènement de Darius au trône, son entrevue avec Polycrate ; soit qu’il représente… le conseil de Sparte, Xerxès s’entretenant du sort de son armée avec [Artabane], la mort de Biton et de Cléobis ou d’autres événements, tout est chez lui dramatique. Il combat avec les Grecs et fuit avec les Perses… Décrit-il une contrée ? On y voyage avec lui, on vit avec ses habitants… on apprend d’eux leurs usages. Parle-t-il d’une religion ? On entre dans ses temples, on assiste à ses cérémonies et on confère avec ses ministres. En un mot, rien ne languit ; l’attention est sans cesse réveillée. »
Telle est la puissance, tel est le privilège du génie d’Hérodote, d’être sorti de l’étroite enceinte de la cité hellénique de son temps ; d’avoir ressenti ce que ressentent les autres nations, d’avoir pensé de concert avec elles ; et d’avoir évoqué ce spectacle immense, non comme l’Ecclésiaste, pour proclamer l’absurdité de toute chose, mais pour porter sur toute chose un regard bienveillant et doux :
pour la première fois, les annales de l’ensemble du monde habité
« Hérodote », dit l’abbé Jean-Jacques Barthélemy 5, « offrit sous un même point de vue tout ce qui s’était passé de mémorable dans l’espace d’environ deux cent quarante ans. On vit alors… une suite de tableaux qui, placés les uns auprès des autres, n’en devenaient que plus effrayants : les nations toujours inquiètes et en mouvement… désunies par l’intérêt et rapprochées par la guerre ; soupirant pour la liberté et gémissant sous la tyrannie ; partout, le crime triomphant, la vertu poursuivie, la terre abreuvée de sang… Mais la main qui peignit ces tableaux sut tellement en adoucir l’horreur par les charmes du coloris et par des images agréables ; aux beautés de l’ordonnance, elle joignit tant de grâces, d’harmonie et de variété ; elle excita si souvent cette douce sensibilité qui se réjouit du bien et s’afflige du mal, que son ouvrage fut regardé comme une des plus belles productions de l’esprit… »
Il n’existe pas moins de huit traductions françaises de l’« Enquête », mais s’il fallait n’en choisir qu’une seule, je choisirais celle de Mme Andrée Barguet.
« Καὶ δὴ ἐζευγμένου τοῦ πόρου ἐπιγενόμενος χειμὼν μέγας συνέκοψέ τε ἐκεῖνα πάντα καὶ διέλυσε. Ὡς δ’ ἐπύθετο Ξέρξης, δεινὰ ποιεύμενος τὸν Ἑλλήσποντον ἐκέλευσε τριηκοσίας ἐπικέσθαι μάστιγι πληγὰς καὶ κατεῖναι ἐς τὸ πέλαγος πεδέων ζεῦγος. Ἤδη δὲ ἤκουσα ὡς καὶ στιγέας ἅμα τούτοισι ἀπέπεμψε στίξοντας τὸν Ἑλλήσποντον. Ἐνετέλλετο δὲ ὦν ῥαπίζοντας λέγειν βάρϐαρά τε καὶ ἀτάσθαλα· “Ὦ πικρὸν ὕδωρ, δεσπότης τοι δίκην ἐπιτιθεῖ τήνδε, ὅτι μιν ἠδίκησας οὐδὲν πρὸς ἐκείνου ἄδικον παθόν. Καὶ βασιλεὺς μὲν Ξέρξης διαϐήσεταί σε, ἤν τε σύ γε βούλῃ ἤν τε μή. Σοὶ δὲ κατὰ δίκην ἄρα οὐδεὶς ἀνθρώπων θύει, ὡς ἐόντι καὶ θολερῷ καὶ ἁλμυρῷ ποταμῷ”. Τήν τε δὴ θάλασσαν ἐνετέλλετο τούτοισι ζημιοῦν καὶ τῶν ἐπεστεώτων τῇ ζεύξι τοῦ Ἑλλησπόντου ἀποταμεῖν τὰς κεφαλάς. »
— Passage dans la langue originale
« Mais, les ponts jetés sur le détroit, une violente tempête s’éleva, qui les rompit et les balaya. À cette nouvelle, Xerxès indigné ordonna d’infliger à l’Hellespont 6 trois cents coups de fouet et de jeter dans ses eaux une paire d’entraves. J’ai entendu dire aussi qu’il avait envoyé d’autres gens encore pour marquer l’Hellespont au fer rouge. En tout cas, il enjoignit à ses gens de dire, en frappant de verges l’Hellespont, ces mots pleins de l’orgueil insensé d’un barbare : “Onde amère, notre maître te châtie, parce que tu l’as offensé quand il ne t’a jamais fait de tort. Le roi Xerxès te franchira, que tu le veuilles ou non ; et c’est justice que personne ne t’offre de sacrifices, car tu n’es qu’un courant d’eau trouble et saumâtre”. Ainsi fit-il châtier la mer, et couper la tête aux ingénieurs qui avaient dirigé les travaux. »
— Passage dans la traduction de Mme Barguet
« Mais quand ces ponts furent jetés, il survint une grande tempête, qui les rompit et les dispersa entièrement. À cette nouvelle, Xerxès, transporté de colère, ordonna de frapper l’Hellespont de trois cents coups de fouet, et de jeter dans la mer une paire d’entraves. J’ai même ouï dire qu’il avait en outre envoyé des gens pour flétrir cette mer avec un fer rouge. Ceux qui la frappaient avaient ordre de prononcer ces paroles barbares et extravagantes : “Onde amère, ton maître te fait subir ce châtiment, pour l’offense que tu lui as faite, sans en avoir reçu aucune de lui. Le roi Xerxès te traversera, malgré que tu en aies. Et désormais, comme il est juste, nul ne t’offrira plus de sacrifices, car tu es un fleuve trompeur et d’eau salée”. Tel fut le châtiment qu’il ordonna d’infliger à la mer ; en même temps, il fit couper la tête à ceux qui avaient présidé à la construction des ponts. »
— Passage dans la traduction d’Élie-Ami Betant (XIXe siècle)
« Déjà le passage était établi, quand survint une violente tempête qui mit en pièces et disloqua tout ce qui était fait. Lorsque Xerxès en fut informé, il ordonna, furieux, de frapper l’Hellespont de trois cents coups de fouet et de jeter dans la mer une paire d’entraves. Même, j’ai entendu dire qu’avec les exécuteurs de ces ordres, il aurait envoyé encore des gens pour marquer au fer l’Hellespont. Ce qui est sûr, c’est qu’il enjoignit qu’en le flagellant on prononçât ces paroles barbares et insensées : “Onde amère, le maître t’inflige cette punition parce que tu l’as offensé sans avoir souffert de lui aucune offense. Et le roi Xerxès te franchira, que tu le veuilles ou non. Certes, il est bien juste que personne ne t’offre de sacrifices, à toi qui n’es qu’un fleuve bourbeux et saumâtre”. Voilà comment il fit châtier la mer ; et à ceux qui avaient présidé à la construction des ponts sur l’Hellespont, il fit trancher la tête. »
— Passage dans la traduction de Philippe-Ernest Legrand (éd. Les Belles Lettres, coll. des universités de France, Paris)
« À peine les ponts étaient-ils assemblés qu’une grande tempête les assaillit et détacha tous les vaisseaux. À cette nouvelle, Xerxès ressentit une colère terrible ; il fit donner à l’Hellespont trois cents coups de fouet, et commanda que l’on jetât dans les flots une paire d’entraves. J’ai ouï dire de plus qu’il y avait envoyé des hommes avec des fers chauds pour marquer l’Hellespont d’une flétrissure. Il enjoignit, au reste, à ses fouetteurs de prononcer ces paroles barbares et insensées : “Onde amère, mon maître t’inflige cette punition parce que tu lui as nui quand il ne t’avait en rien offensée. Le roi Xerxès ne t’en franchira pas moins, que tu le veuilles ou non. C’est bien justement que nul homme ne t’offre de sacrifices, à toi qui n’es qu’un fleuve trompeur et saumâtre”. Il châtia de la sorte cette mer ; quant à ceux qui avaient présidé à la construction du pont, il leur fit trancher la tête. »
— Passage dans la traduction de Pierre Giguet (XIXe siècle)
« L’eau étant couverte de ces ponts, une grande tourmente se leva qui rompit et brisa tout. De quoi averti, Xerxès fut fort déplaisant, et commanda que trois cents coups de fouet fussent donnés à l’Hellespont et qu’on jetât dedans deux paires de fers pour mettre aux pieds. Et j’ai davantage entendu qu’il envoya marques pour le flétrir et stigmatiser. À la vérité, il commanda qu’il fût souffleté avec ces paroles barbares et présomptueuses : “Eau amère et salée, le seigneur te baille cette punition pour l’outrage que tu lui as fait sans t’avoir offensée. Et assure-toi que, veuilles ou non, le roi Xerxès passera par-dessus toi. Aussi, tu es si fausse et si salée, que nul ne te fait sacrifice”. Il commanda que l’Hellespont fût châtié avec telles paroles et telles punitions, ensemble que les têtes fussent taillées aux ouvriers et entrepreneurs des ponts ; et ainsi furent bien récompensés. »
— Passage dans la traduction de Pierre Saliat (XVIe siècle)
« Mais aussitôt qu’on eut fait ces ponts, il s’éleva une tempête qui les rompit entièrement. Xercès se mit en colère à cette triste nouvelle, et commanda qu’on donnât trois cents coups de fouet à l’Hellespont, et qu’on jetât dans cette mer deux paires de ces sortes de fers qu’on met aux pieds des criminels. J’ai même ouï dire qu’il envoya outre cela des fers ardents avec lesquels on les note d’infamie. Au moins, il est certain qu’il commanda qu’on donnât des soufflets à l’Hellespont, en disant ces paroles barbares et extravagantes : “Ô amères eaux, le prince vous a condamnées à ce châtiment, parce que vous l’avez offensé sans qu’il vous en ait donné sujet. Mais en dépit de vous, il passera par-dessus vous, et comme vous êtes trompeuses et amères, c’est avec raison que personne ne vous fait des sacrifices”. Xercès voulut qu’on donnât cette punition à la mer, et que l’on coupât la tête aux entrepreneurs de ces ponts, qui n’eurent point d’autre récompense de leur travail. »
— Passage dans la traduction de Pierre Du Ryer (XVIIe siècle)
« Ces ponts achevés, il s’éleva une affreuse tempête qui rompit les cordages et brisa les vaisseaux. À cette nouvelle, Xerxès, indigné, fit donner, dans sa colère, trois cents coups de fouet à l’Hellespont et y fit jeter une paire de ceps. J’ai ouï dire qu’il avait aussi envoyé avec les exécuteurs de cet ordre des gens pour en marquer les eaux d’un fer ardent. Mais il est certain qu’il commanda qu’en les frappant à coups de fouet, on leur tînt ce discours barbare et insensé : “Onde amère, ton maître te punit ainsi parce que tu l’as offensé sans qu’il t’en ait donné sujet. Le roi Xerxès te passera de force ou de gré. C’est avec raison que personne ne t’offre des sacrifices, puisque tu es un fleuve trompeur et salé”. Il fit ainsi châtier la mer, et l’on coupa la tête à ceux qui avaient présidé à la construction des ponts. »
— Passage dans la traduction de Pierre-Henri Larcher (XVIIIe siècle)
« Mais à peine la communication était-elle établie, qu’il survint une tempête terrible qui rompit les câbles et ruina entièrement tous les ouvrages. Xerxès, instruit de cet événement, et transporté de colère, ordonna que l’on battît les eaux de l’Hellespont de trois cents coups de fouet, et qu’on jetât dans la mer une paire d’entraves. J’ai même entendu dire qu’il avait chargé des Grecs, qu’il envoya sur les lieux, de flétrir cette mer avec un fer rouge. Du moins, est-on certain qu’il prescrivit à ceux qui avaient ordre de la battre à coups de fouet, de prononcer, au moment de l’exécution, ces mots, non moins barbares qu’insensés : “Onde amère, ton seigneur et maître te fait subir cette punition, pour lui avoir fait injure, à lui, qui ne t’en fit jamais aucune ; au surplus, que tu y consentes ou non, le roi Xerxès viendra toujours bien à bout de franchir tes flots ; mais aussi à l’avenir aucun mortel ne t’offrira de sacrifices, fleuve aussi trompeur que tes eaux sont salées”. Tel fut le châtiment que Xerxès ordonna d’infliger à la mer. Il fit, en outre, couper la tête à tous ceux qui avaient eu la direction de ces travaux. »
— Passage dans la traduction d’André-François Miot (XIXe siècle)
« At juncto ponte, incidit ingens tempestas, quæ rescidit omnia atque dissolvit. Quod ubi Xerxes rescivit, gravissime ferens, trecenta verbera flagellis infligi jussit Hellesponto, et compedum par in pelagus injici : quin et memoratum audivi, præter hæc homines etiam misisse eum, qui stigmata inurerent Hellesponto. Imperavit certe, ut flagellis cædentes barbara hæc et insana pronunciarent verba : “O amara aqua ! dominus tibi hanc pœnam infligit, quod illum injuria adfecisti, nihil mali ab ipso passa. Et trajiciet te rex, sive volueris, sive nolueris. Merito autem nemo hominum tibi sacra facit, quippe doloso salsoque flumini”. Simul vero et mari has pœnas jussit infligi, simulque capita amputari eorum, qui jungendo flumini fuerant præfecti. »
— Passage dans la traduction latine de Jean Schweighæuser (XIXe siècle)
« Quem [trajectum] pontibus junctum, ingens adorta tempestas ea omnia contudit atque dissolvit. Quod cum audisset Xerxes, indigne ferens, jussit trecenta Hellesponto verbera flagello infligi, et in pelagus par compedum demitti. Jam vero audivi misisse quoque cum his tortores, stigmata Hellesponto inusturos. Certe mandavit ut flagellantes eum dicerent barbara ac vesana : “O aqua amara, dominus hanc tibi irrogat pœnam quod eum læsisti, qui de te nihil [mali] meritus erat. Te tamen rex Xerxes, velis nolisve, transmittet : meritoque nemo hominum tibi sacrificat, ut doloso et ingratæ salsuginis flumini”. Hac pœna mare Xerxes plecti jussit, atque eis qui præpositi jungendo Hellesponto erant, capita præcidi. »
— Passage dans la traduction latine de Laurent Valla, revue par Jacobus Gronovius (XVIIIe siècle)
« Quem [trajectum] pontibus junctum, ingens adorta tempestas ea omnia dirupit atque dissolvit. Quod cum audisset Xerxes, indigne ferens, jussit trecenta Hellesponto verbera infligi, et in ejus pelagus par compedum demitti. Jam vero audivi misisse quoque cum his etiam qui stigmata Hellesponto inurerent. Certe mandavit ut colaphos Hellesponto incuterent, dicentes barbara verba ac vesana : “O aqua amara, dominus hanc tibi irrogat pœnam quod eum læsisti, qui de te nihil [mali] meritus erat. Te tamen rex Xerxes, velis nolisve, transmittet : meritoque nemo hominum tibi sacrificat, ut doloso pariter et amaro flumini”. Hac pœna mare Xerxes plecti jussit, atque eis qui præpositi operi erant, caput præcidi. »
— Passage dans la traduction latine de Laurent Valla, revue par Henri Estienne (XVIe siècle)
« Quem [trajectum] pontibus junctum, ingens adorta tempestas ea omnia dirupit atque dissolvit. Quod cum audisset Xerxes, indigne ferens, jussit trecenta Hellesponto verbera infligi, et in ejus pelagus par compedum demitti. Jam audivi misisse quoque cum his etiam qui stigmata Hellesponto inurerent. Certe mandavit ut colaphos Hellesponto incuterent, dicentes barbara verba ac vesana : “O aqua amara, dominus hanc tibi irrogat pœnam quod eum læsisti, qui de te nihil mali meritus erat. Te tamen rex Xerxes, velis nolis, transmitteret : meritoque nemo hominum tibi sacrificat, ut doloso pariter et amaro flumini”. Hac pœna mare Xerxes plecti jussit, atque eis qui præpositi operi erant, caput præcidi. »
— Passage dans la traduction latine de Laurent Valla (XVe siècle)
Téléchargez ces œuvres imprimées au format PDF
- Traduction de Pierre Giguet (1913) [Source : Bibliothèque nationale de France]
- Traduction de Pierre Giguet (1886) [Source : Google Livres]
- Traduction de Pierre Giguet (1875) [Source : Google Livres]
- Traduction de Pierre Giguet (1870) [Source : Google Livres]
- Traduction de Pierre Giguet (1864) [Source : Google Livres]
- Traduction de Pierre Giguet (1864) ; autre copie [Source : Google Livres]
- Traduction de Pierre Giguet (1864) ; autre copie [Source : Google Livres]
- Traduction de Pierre Giguet (1860) [Source : Google Livres]
- Traduction de Pierre Giguet (1860) ; autre copie [Source : Google Livres]
- Traduction de Pierre Giguet (1860) ; autre copie [Source : Canadiana]
- Édition, traduction de Félix de Parnajon et celle de Pierre Giguet partielles (1891) [Source : Google Livres]
- Édition, traduction de Félix de Parnajon et celle de Pierre Giguet partielles (1876) [Source : Bibliothèque nationale de France]
- Traduction de Pierre Saliat (1864) [Source : Google Livres]
- Traduction de Pierre Saliat (1864) ; autre copie [Source : Google Livres]
- Traduction de Pierre Saliat (1864) ; autre copie [Source : Google Livres]
- Traduction de Pierre Saliat (1864) ; autre copie [Source : Google Livres]
- Traduction de Pierre Saliat (1864) ; autre copie [Source : Google Livres]
- Traduction de Pierre Saliat (1864) ; autre copie [Source : Google Livres]
- Traduction de Pierre Saliat (1864) ; autre copie [Source : Google Livres]
- Traduction de Pierre Saliat (1580) [Source : Google Livres]
- Traduction de Pierre Saliat (1580) ; autre copie [Source : Google Livres]
- Traduction de Pierre Saliat (1556) [Source : Google Livres]
- Traduction de Pierre Saliat (1556) ; autre copie [Source : Google Livres]
- Traduction de Pierre Saliat (1556) ; autre copie [Source : Google Livres]…
Voyez la liste complète des téléchargements
Consultez cette bibliographie succincte en langue française
- François de La Mothe Le Vayer, « Jugement sur les anciens et principaux historiens grecs et latins, dont il nous reste quelques ouvrages » (XVIIe siècle) [Source : Google Livres]
- Guillaume de Rochefort, « Premier Mémoire sur la morale d’Hérodote • Second Mémoire sur Hérodote comparé à Homère » dans « Mémoires de littérature, tirés des registres de l’Académie royale des inscriptions et belles-lettres. Tome LXXII » (XVIIIe siècle), p. 1-87 [Source : Bibliothèque nationale de France]
- Guilhem de Clermont-Lodève, baron de Sainte-Croix, « Examen critique des anciens historiens d’Alexandre le Grand » (XVIIIe siècle) [Source : Google Livres].
- En grec « Ἱστορίη ». On rencontre aussi la graphie « Ἱστορία » (« Historia »). Avant de devenir le nom d’un genre, l’« histoire » dans son sens primitif était une enquête sérieuse et approfondie, une recherche intelligente de la vérité.
- En grec Ἡρόδοτος ὁ Ἁλικαρνασσεύς.
- « Traité des lois » (« De legibus »), liv. I, sect. 5.
- « Dialogues de l’orateur » (« De oratore »), liv. II, sect. 55.
- « Voyage du jeune Anacharsis en Grèce. Tome III ».
- L’Hellespont est un détroit par lequel on entre de la mer Égée dans la mer de Marmara. On le nomme aujourd’hui détroit des Dardanelles.